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 Arthur Coquelin

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Arthur Coquelin

Arthur Coquelin

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MessageSujet: Arthur Coquelin   Arthur Coquelin EmptyMar 27 Nov - 9:25


Carton d'invitation


Registre des habitants de la ville de Paris


Nom & Prénoms : Arthur Coquelin. Anciennement Emile Coquin.
Âge & Date de naissance : 9 Janvier 1864, 33 printemps d’existence.
Origine sociale : Chez les Coquins, on vivait de tragédies, d’aquarelles, de pitreries et de rythmes depuis la nuit des temps. Réputés pour être de piètres artistes, des ratés sans le moindre talent, il va sans dire que, de mémoire d’homme, jamais un Coquin n’aura trouvé autant de succès dans ses entreprises – et Dieu seul sait qu’elles furent nombreuses – que son brillant, perfide et seul descendant connu à ce jour : Emile Coquin. Si le monde de l’Art lui était définitivement fermé, il se révéla fort habile dans celui des combines fallacieuses et autres intrigues illégales.
Comme quoi, la divine providence - si l’on peut appeler cela ainsi – n’est pas exempte d’humour.
Mais quel humour !
Métier, occupation : Proxénète
Ambitions : Puisque les Coquin se sont livrés à l’Art sans que jamais, elle ne le leur rende, il appartient désormais à l’Art de se livrer au Coquin, toute entière qu’elle puisse être. Arthur Coquelin détiendra la totalité des œuvres reconnues à Paris,
parole de vaurien !
Milieu fréquenté : Il n’est point de milieu inatteignable pour un bougre gavé de volonté tel que le remarquable Arthur Coquelin. Nonobstant, pour pallier à l’ennui, il n’est de meilleure compagnie que celle de la vermine ; celle qui grouille, qui s’agite et qui se tortille à vos pieds. Un monde en perpétuel mouvement, en constante effervescence, qui s’active tandis que les plus jeannots se confondent et jubilent dans leurs songes.
Mondanité : 35 Points
Infamie : 150 Points



Tout esprit profond s'avance masqué

Description physique et psychologique


"Il n'existe pas de phénomènes moraux, mais seulement une interprétation morales des phénomènes."
[Nietzsche — Par-delà bien et mal]

Qu’est-ce que le Bien et le Mal ? Par où commencent les devoirs des uns ? Où s’arrêtent les droits des autres ? Sous cette épaisse tignasse de bronze, constellée de mèches folles, tantôts lisses, tantôt annelés, de quoi est faite la Morale ? Derrière ce visage aux traits bourrus, quoiqu’harmonieux, qu’est-ce que le Bonheur ? Qu’est-ce que la Liberté ? Concrètement ?
À travers ce regard taillé à même le charbon, passant de l’ardent à l’insondable en l’espace de quelques secondes, qu’est-ce que le Bien et le Mal ? Sans bafouiller, ni rigoler. Sincèrement. Qui peut affirmer avoir réponse à cette question sans défaillir ? Qu’est-ce que tout ceci ? Sinon, des espèces de vagues notions aussi arbitraires que subjectives tout droit vomies du subconscient collectif d’une bande de vieux hallucinés trop préoccupés par leur confort pour poindre leur nez pourri à l’extérieur de leur foutues baraques ? Sérieusement ? Ne devrait-il pas y avoir autant de définitions du Bien qu’il y a d’êtres humains ? Autant de conceptions du Mal qu’il n’y a d’esprits intelligibles ? En somme, ce curieux personnage à la stature modiquement imposante conçoit les choses de manière telle que personne n’est, ni véritablement mauvais, ni profondément bon. Non, monsieur, non ! Je vous le dis, pour lui, tout ce que vous pouvez représenter se définit, en fin de compte, par vos actes : S’ils sont de ceux qui vous mènent au bagne, ou pas. S’ils sont légaux ou pas. Le reste n’est qu’un impénétrable charabia dénué de tout sens ludique. Une prose de dément. Un babillage bibliquement inutile, auquel, pourtant, si l’on parvient à légitimer les fondements, les causes auprès de ceux qu’il convient de persuader et séduire, tout devient possible, y compris le pardon, la rémission divine.
En d’autres termes ; tout est relatif.
Et cela, Arthur Coquelin le maitrise parfaitement. Bien entendu.

Il s’applique ordinairement à se tenir le menton du revers de la main lorsque qu’il lit, ou parcours les lignes d’un texte. Surtout si cela lui paraît digne d’intérêt. Cette posture vieillotte, ce toc superficiel et démodé calqué de l’œuvre d’une connaissance morte une dizaine d’années plus tôt - Le Penseur d’un certain Rodin, se plaît-il à évoquer - est une façon bien subtile de narguer tout ce qui a trait à la culture conventionnellement chérie par le « gratin ». C’est pour ainsi dire, sa douce vengeance contre cette société qui n’a jamais voulu reconnaître en ses prédécesseurs le talent artistique dont ils étaient les dignitaires. Celle-ci même qui a refusé d’accepter leurs oeuvres comme appartenant à ce patrimoine culturellement adulé. Et, pour tout instrument de vengeance, c’est celle, plus douce que le miel encore, plus sucrée et bien plus persistante aussi, qu’il a choisit.
En réalité, Arthur, aussi fière qu’un roi, n’a curieusement jamais renoncé à ce qui avait engluer, empoissonné sa famille, six générations durant. L’Art reste pour lui une discipline moderne de premier ordre. Et quoiqu’il en dise ou dira, en substance, l’instruction par la culture a énormément d’importance à ces yeux.

Aussi, rien ne lui échappe ; de la regrettable disparition de ce prestigieux génie de la biologie avec sa théorie révolutionnaire sur l’évolution, du nom de Darwin, au scandaleux décès de la duchesse d'Alençon, sœur de de l'impératrice d'Autriche actuelle, au cours de l'incendie du Bazar de la Charité causé par un objet des plus hétéroclite appelé "caméra". Aux yeux d’Arthur, l’information est le nouveau symbole du pouvoir, en ces temps d’industrialisation. Et le pouvoir, c’est à travers la communication qu’il faut aller le pêcher, plus à la façon d’un braconnier que d’un honnête marin. Aussi, peut-on imaginer une personnalité façonnée dans l’écume, qui monte, s’exalte et s’adoucit aux grés des marées. Notez également un carnet d’adresse fort bien fourni, ainsi que notoirement insatiable de dévorer noms et observations sur le dos des gens. Oh, ça pour sûr ! Monsieur Coquelin est homme à en connaître, du monde !

Par bien des manières, vous seriez tenté d’imaginer avoir affaire, ici, à l’un de ces mondains pur sang, braves bêtes qu’ils sont. Toutefois, prenez bien garde ! Car l’imaginaire peut être un puissant calmant de l’esprit. La réalité est bien souvent loin de ce qui s’offre à vos yeux en ces temps où tout se rapporte aux apparences. L’habit ne fait pas le moine, dira-t-on. Le voleur, lui en revanche, fait les poches du moine, vous rétorquerait-il. Néanmoins, nous n’irons pas jusqu’à vous mentir. Pas ici. Pas nécessaire. En effet, par le fait même, sans doute, figurez-vous que le mot « mondain » a cela de gracieusement façonné qu’il permet de désigner, à la fois, l’homme du monde, la relativité à l’univers et une race de pigeons d’élevages. Aussi, faut-il savoir par qu’elle versant on s’attaque à l’ours, avant de prétendre à l’avoir tué. Fièrement mourir en affrontant de face ? Ou demeurer lâchement survivant en s’y prenant par derrière ? Tout ce qui est plus certain, c’est que dans le deuxième cas, serons-nous toujours en mesure de récolter les quelques louis d’or résultant de la vente de sa peau.
La société est ainsi faite. Manger ou être mangé. Et Arthur Coquelin en est le digne représentant. C’est, entre autre, la raison pour laquelle il truande, vole, menace et profite. Sinistre matérialiste et joyeux dionysien, il prend, aspire, boit, dévore et brûle tout ce que la vie lui donne, sans ménagement et sans jamais rien lui retourner - question de principe.




Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose

Texte d'introduction au personnage ou test RP


Un an auparavant.

Se faire passer pour mort est loin d’être chose aisée.
On mobilise les gens, on cherche des témoins, on sélectionne une joyeuse petite coupable, on appelle la police - quoiqu’aucun besoin de la faire mander pour qu’elle rapplique, celle-là. Ajoutez à cela un billet de train bien coûteux que vous vous offrez et, par-dessus le marché, un jeu d’acteur irréprochable bien que suffisamment naturel pour être à la mesure de votre publique, le convaincre en somme. Enfin, prenez le tout, placez-le dans un contexte dramatique comme une énième dispute amoureuse, de celles qui virent au crime passionnel, au cours duquel votre corps finit par mystérieusement sombrer dans les eaux troubles et vaseuses de la Seine et vous obtiendrez une mort convenable, ainsi qu’un fort aimable séjour au soleil, d’où vous pourrez allègrement et sans soucis, aucun, dilapider le fruit de ce qui a été, comme qui dirait, votre plus grande perfidie entreprise. Toutefois, voilà qu’un sinistre corniaud vient un jour décréter : « Toute bonne chose à une fin. »
Alors il faut se remettre au boulot.
Reprendre du service.

« Voici donc venu les temps des grands retours ! » s’était-il entendu dire au cours d’une de ces délirantes soirées plus que bien arrosées, où l’on buvait de tout, mais surtout de beaucoup. À force de folâtreries, de camaraderies éthyliques et d’amours pour les belles choses, son orphelin pécule a fuit vers de meilleurs portefeuilles.

Aussi, par un léger matin de Juillet, sur le quai d’une insignifiante gare au Sud de la France, Emile Coquin embarque dans le train de six heures, à destination de Paris. Une douce clameur monte lentement. Passagers anxieux, mécaniciens nerveux, machinistes écarlates, c’est tout un monde éphémère qui se met en marche. Là où demeuraient voyageurs somnolant et fraîcheur de la nuit à l’instant d’avant, s’établit, dans les sifflements de vapeur et les crissements des roues, une société mécanique débordante de vie. Les travailleurs du nouveau siècle, paraît-il. Les gens montent donc, ou descendent. Puis c’est au tour des contrôleurs de siffler le départ. En voiture. Alors tout disparaît à la manière dont cela a surgit ; avec ce semblable empressement, méthodique et chronométré.

Depuis son compartiment, il scrute d’un œil imbriaque les paysages bucoliques qui défilent sans relâche, à l’exemple d’une tapisserie qu’on déroule à l’infini. Blottie toute contre lui, repose une charmante jeune fille qu’il enlace, comme on enlace chèrement un investissement à long terme. Tandis que les bruits de machine à vapeur retentissent à l’extérieur, pareil à un tonnerre de ferraille, Emile Arthur Coquin Coquelin tend le bras dans un mouvement tout aussi machinal pour se servir d’un énième verre de ce remarquable cognac. Sans doute la dernière fois qu’il goûterait à une liqueur de cette noblesse avant bien des âges. Son regard, enivré des vapeurs d’alcools et de plaines rurales, se pose soudain sur la dulcinée. Cette douce enfant - dont le prénom lui échappe désormais - s’est tout d’abord offerte à lui comme on s’offre un caprice. Et lui, en glorieux scélérat qu’il est, a su déceler dans cette petite, cette lueur, cet éclat dans les prunelles qui fait naître le désir dans tout homme censé et raisonnable. Du haut de son mètre et quelques de femme, elle était l’allégorie la plus charmante qui pût habiter cette terre d’une montagne de sous. Bien vite, elle n’eut d’yeux que pour lui, au point de renoncer à tout pour le suivre dans ce qu’il se plaisait à appeler « son grand retour ».

Finalement, le train entre en gare, tirant le voyou de son clairvoyant et soiffard coma. Semblable à un coup de feu, il s’empresse de fouiller à traves le verre de sa bouteille, avant de s’en prendre à celui de la fenêtre. L’une est pleine, l’autre pas. Un soupire, qui de soulagement, qui de chagrin se fait percevoir, car Paris n’a pas changé et ne sera plus la même, dorénavant. Sur le quai, une vieille amie vient à sa rencontre, à lui et à la mignonne.

« — Où étais-tu donc passé !?

J’ai été là-bas, au loin, car, comme vous le savez, ma tendre amie, c'est là qu'on profite le mieux de la mort. »

Emile Coquin n’est plus.
Arthur Coquelin, tel le phénix, a brusquement jaillit de ses cendres afin de faire son grand retour en ville !




Theatrum mundi...

Pour terminer...


Pseudonyme : Colorado
Âge : 19
D'où nous venez-vous ? Top Sites. Halleluah !...
Quelque chose à nous dire ? J'apprécie énormément votre forum en ses qualités d'esthétisme et d'originalité en ce qui concerne le contexte. J'admire !



Dernière édition par Arthur Coquelin le Mer 28 Nov - 8:27, édité 3 fois
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Pierrot Lunaire
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Pierrot Lunaire

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MessageSujet: Re: Arthur Coquelin   Arthur Coquelin EmptyMer 28 Nov - 5:31

Coucou Arthur, me revoilà comme promis !

En attendant l'aval de Louison, je me permets de revenir sur un point qui me semble à nuancer au vu de l'époque : l'influence nietzschéenne du personnage. D'une part, tu parles des "derniers écrits en date", ce qui peut induire en erreur, vu qu'il n'a rien publié depuis des années. De plus, l’œuvre de Nietzsche n'est pas encore très bien connue en France. Dans les faits, on parle énormément de lui, mais très peu de gens en ont effectivement lu, et pour cause : on compte quelques articles à son sujet à partir des années 1890, mais les traductions sont encore rares. Surtout, ce ne sont encore que des extraits, publiés dans des revues. Les premiers volumes de Nietzsche à accéder à une traduction complète sont le Zarathoustra et Par-delà le bien et le mal, tous deux en 1898 (avec toutes les difficultés que cela implique). Par conséquent, les français ont une vision très partielle de Nietzsche ... et très fausse. Du coup, il me semble un peu tôt pour parler de "joyeux dionysien". Plus généralement, si tu veux développer cet aspect, je t'inviterai à une grande prudence. Une page Wikipédia résume pas trop mal la situation et si cela t'intéresse, il y a le bouquin Nietzsche en France de la fin du XIXe au temps présent de Jacques le Rider.

Ah, petit détail rigolo, également : cela m'étonnerait qu'Arthur soit né en 1964. Razz
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Arthur Coquelin

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MessageSujet: Re: Arthur Coquelin   Arthur Coquelin EmptyMer 28 Nov - 7:01

    Misère de l'inattention! Autant pour moi...
    Mais voilà qui est arrangé. J'espère que ça ira ainsi..

    Merci infiniment. Ne me reste plus qu'à attendre mademoiselle Delorme, quoique, je ne suis pas pressé.
    Bien bonne soirée!
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Louison Delorme
Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants, dans tes jupons remplis de parfums.
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MessageSujet: Re: Arthur Coquelin   Arthur Coquelin EmptyMer 28 Nov - 10:59

Je voyais peut-être Arthur un peu plus cynique et pouvant être violent. Mais globalement ça me convient bien.
Et j'espère qu'on pourra faire un RP en flashback pour parler de mon arrivée à Paris et du début de ma descente aux enfers ...
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MessageSujet: Re: Arthur Coquelin   Arthur Coquelin EmptyMer 28 Nov - 11:44

    Soit !
    Mander, cynique et violent je serai !...

    Arthur Coquelin 4153828995

    J'suis là pour m'adapter, après tout. Wink
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Pierrot Lunaire
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MessageSujet: Re: Arthur Coquelin   Arthur Coquelin EmptyJeu 29 Nov - 4:13

Eh bien puisque tout le monde semble d'accord, je te valide avec plaisir, cher Arthur ! Tu te retrouves avec 35 points de Mondanité et 150 d'Infamie. Tu n'as plus qu"à te créer un fichier de personnage et à te trouver un ou plusieurs RPs ! Tu peux aussi venir discuter avec nous dans le flood, y réclamer un rang personnalisé, etc.

Le flashback avec Louison peut déjà te permettre d'inaugurer ton personnage. Si ça n'est pas déjà fait, je t'invite à lire sa fiche pour accorder vos violons. Wink Il y a la deuxième chasse au trésor qui n'est pas loin de commencer également, si ça t'intéresse.

Et au cas où tu méditerais quelques mauvais coups en RP, n'hésite pas à contacter le staff, on peut t'aider à mener des actions d'envergure ou créer les lieux RP dont tu pourrais avoir besoin (un musée pour y dérober quelque chose, peut-être ... ?).

Dans tous les cas, sois le bienvenu parmi nous !
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Arthur Coquelin

Arthur Coquelin

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MessageSujet: Re: Arthur Coquelin   Arthur Coquelin EmptyJeu 29 Nov - 5:47

    Fabuleux !

    Eh bien, eh bien... Je vous remercie vivement pour la validation et je vais, cela va de soit, aller jeter un coup d'oeil du côté des quêtes annexes.

    Louise, vous plairait-il de débuter cette ascension du mal avec moi ? Je vous donne la priorité quant aux éléments de décor et de temps. Que les festivités commencent !
    Arthur Coquelin 921439
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