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 Armand Boischevalier.

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MessageSujet: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptyMer 26 Oct - 11:01

    Registre des habitants
    de la Ville de Paris

    Quelques informations factuelles :

    • Nom & Prénoms :Boischevalier, Armand. Des fois plaisante-t-il avec les jeunes naïfs en ajoutant un « Du » devant son nom, pour jeter une pierre de confusion. Mais bien souvent, il ajoute également que c'est une plaisanterie, la nature n'a pas été assez généreuse, dans son cas
    • Âge & Date de naissance : 26 ans, répondra-t-il avec un léger sourire. Il précise être né durant le mois de novembre, un 18, en l'année 1870. L’un de ces jours, que l'on oublie vite...
    • Origine sociale : L'homme n'est pas très bavards, là dessus, entretenant un léger mystère autour de lui, qui attise les curieux. Aux plus persistants, il dit être fils d'une couple de nouveau riches, quelque part, sur la frontière avec l’Allemagne, restant toujours vague. Depuis, Armand a grandit et a su attraper les opportunités qui se présentaient à lui pour devenir ce qu'il est aujourd'hui...
    • Métier, occupation : Quelle chance, Armand ne travaille presque pas ! De part des actions bien placées, quelques spéculations qu'il fait lorsqu'il est soumit à l'ennui, l'homme jouit d'une fortune notable qui s'entretient bien. Si bien qu'il peut passer ses journées plutôt tranquillement. Et heureusement ! Car ce qu'il dit moins, c'est que ses nuits sont bien moins calmes. Armand tue, régulièrement, parfois par simple envie, souvent par contrats, pour arrondir des fins de moins plus justes qu'il ne le prétend. Et l'homme est très doué.
    • Ambitions de votre personnage : Se faire reconnaître. Armand, plus que jamais, à besoin de la reconnaissance des autres, même s'il le cache admirablement bien. Dernièrement, la reconnaissance de son épouse semble lui suffire.
    • Milieu fréquenté : Armand pouvait se venter d'être monté haut, mais son mariage -scandaleux !- avec une danseuse -étrangère !- lui a mit un sacré plomb dans l'aile. Aujourd'hui, il fréquente en particulier le salon de la présidente, amusée par cet homme -excentrique- qui s'est marié par amour -le fou-. Sans doute les autres salons resteront à jamais les portes closes pour lui, mais il lui importe peu, sa femme compte plus que toute considération qu'il pourrait avoir... même si ça le chagrine quand même un peu.
    De plus, Armand a un bon pied dans le monde criminel. Il se montre prudent et discret, mais reste tout de même un nom « qui monte ».
    • Points de Mondanité : Dans les 120, environs ?
    • Points d'Infamie : Vers les 200, approximativement ? (je reprends comme ma tendre épouse ! )


Tout esprit profond s'avance masqué

Description physique & psychologique :



Regardez-le.

Regardez-le bien et dîtes vous que tout en cet hommes n'est que mensonges et façades.

D'ailleurs, pouvez-vous bien le voir ? Il tient un verre entre ses doigts longs et fins, fait onduler le vin à l'intérieur d'un geste de bras maîtrisé tel un connaisseur. Il porte le verre à ses lèvres, fines mais fièrement dessinées, au dessus d'un nez long et droit. Ses yeux croisent les votre et vous semblent sourire, mais c'est un mensonge. Du fond de ses yeux marrons, presque d'or, diraient certaines, l'homme se moque bien de vous.

Armand le savait et s'amusait bien avec : il était communément dit « bien fait ». Il l'avait compris quand il était jeune et naïf, encore. Ses cheveux soyeux, d'un brun sombre, ondulaient presque sur un front droit, chatouillant des sourcils épais mais bien dessinés, lui donnant un air imperturbable, presque gentiment moqueur. Son visage était fin, les joues creusées et des fossettes apparaissaient s'il souriait. Ses pommettes, saillantes, laissaient deviner un crâne anguleux, au menton large, mais tout de même bien fait, sous une peau fine, presque fragile, mais toujours impeccablement bien rasée. Vraiment, si on ne s'attardait que sur son visage, on aurait volontiers dit l'homme charmant, son regard sombre attirait par ses yeux plus clairs, ses sourires légers en faisant rougir plus d'une.

Pour le reste, on pourrait vaguement décrire que le personnage était grand, à la silhouette bien taillée pour un homme et on pourrait ajouter qu'il était toujours bien habillé et prenait grand soin de lui. Armand était, est et sera toujours couvert de la tête aux pieds, seule sa tête le présente comme un homme blanc et jeune.

Zatanna, son épouse, pourrait par contre vous décrire que son époux n'a rien à envier à qui que ce soit (mais peut-être n'était-elle pas tout à fait objective, soit.). Sous sa chemise se trouve des bras longs mais athlétiques, un torse musclé, un ventre plat finement taillé... l'homme fait en effet très attention à lui, soignant son image en mangeant raisonnablement et en pratiquant quelques activités... physiques. Il s'en cache, certes, mais préfères son corps ainsi fait que gras et mou, flasques et inconfortable. Notons également deux jambes musculeuses qu'il serait indécent de trop préciser (les bonnes moeurs, tout ça...). Plus ? Allons, Dame bonne moralité vient de s'évanouir, là.

De toute façon, comme précisé un peu avant, personne d'autre que son épouse ne profite vraiment du corps d'Armand, étant donné que ce dernier sort toujours couvert. Même ganté, c'est dire ! L'homme est toujours très propre sur lui, élégant, charmant -et charmeur-, vêtu de couleurs sombres. Il se dégage de lui une impression d'aisance et de courtoisie. Sans trop savoir pourquoi, on se dit aussi qu'il dégage également quelque chose, sans pouvoir bien mettre le doigts dessus. Peut-être parce que toujours, il semble là, à porté de main, mais inaccessible en même temps.

En effet, si d'aventure vous allez lui parler, Armand se montrera poli, calme et mesuré. Il paraîtra humble et courtois, presque rieur, un peu moqueur, mais sans trop de méchanceté dans les paroles ; un si beau minois ne pourrait être si trompeur. Sa douce voix grave chantera quelques mots flatteurs, son sourire s'esquissera pour insister le mystère qui l'entoure quand on lui posera des questions. Il semblera alors présent et lointain en même temps, étant de compagnie agréable, mais éludant la plupart des informations sur lui. Alors oui, très vite, on se dira qu'Armand est un jeune homme gentil, léger et doux, calme et discret, arrivant à survivre par un brin d'intelligence dans la jungle de la mondanité.

Tout ceci est un mensonge.

Armand ne survit pas dans la société actuelle. Il s'y bat et abat les adversaires qui se dressent face à lui. L'homme est ambitieux, pourrit d’orgueil, calculateur et sous chacun de ses sourires se cache un mépris sans fond envers ses congénères. Même son calme n'est pas entier. Armand peut, parfois pour peu de chose, entrer dans des colères noires aussi furieuse qu'elles sont vives. Il pourra alors hurler, voir devenir violent, mais la plupart du temps, avec beaucoup de brio, il parvient à se contenir pour passer ses nerfs dehors, loin de tout regards. En dehors de ces éclats colérique, Armand reste quelqu'un de calme, voir plutôt insensible. Il ne rie pas aux éclats, il ne se montre que rarement triste ou peiné. Sa voix est de temps en temps acide, tranchante comme une lame. Intérieurement, Armand est froid, détestable et sans pitié.

De plus, l'homme est obsédé par la propreté, que ce soit de ce qui l'entoure ou de lui même. Une trop grand dose de crasse pourra lui faire avoir des vertiges. Chose peu compatibles avec son passe-temps d’assassin, il s'arrange pourtant pour toujours se salir le moins possible. Ou si la chose est impossible, Armand brûlera simplement ses vêtements dans sa cheminée, une fois rentrée chez lui. S'il prend autant soin de l'image qu'il veut laisser paraître aux autres, ce n'est pas pour se laisser trahir pour si peu. Armand est prudent, menteur de génie, hautain et déterminé. Presque passionné et têtu. Son mariage avec une danseuse en est la preuve.

Mais peu de gens le savent vraiment.

Seule Zatanna, son épouse, bénéficie d'une totale sincérité de sa part. L'homme l'aime véritablement et tendrement, lui signale par des petits ragots moqueurs, quelques derniers potins pour dénigrer ses congénères humains et elle seule sait qu'Armand possède un humour noir. D'ailleurs, seule la belle russe à le droit à de vrai sourire, tout comme elle possède le pouvoir incroyable de parvenir à calmer Armand pendant ses éclats de colère. D’ailleurs, pour elle, l’homme devient exagérément possessif, voir jaloux. Elle est sa confidente, sa compagne de chaque instant et plus que tout, elle est son indispensable moitié.

Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose.

Texte d'introduction au personnage ou Test RP :

L'agitation entourait l'opéra Garnier. Les cris, quelques pleurs, des hoquets de peur secouaient les gens. Les toux étaient fréquentes et des murmures des curieux s'entassant autour de l'opéra en feu leurs faisaient écho. Plusieurs personnes exhortaient au calme, hurlant à la populace de s'éloigner. Un couple, dans la nuit, sembla obéir bien docilement.

Titubant, ses bras autour des épaules de son épouse, Armand avait le coeur au bord des lèvres, des vertiges violents l'agitaient et son visage était blafard. Seul lui importait de rentrer chez lui, avec Zatanna. Celle-ci était également en état de choc. Le bruit de l'explosion faisait encore bourdonner ses oreilles. Elle avait eu peur, comme tout le monde, elle était désorientée, comme tout le monde. Mais si elle se serrait contre son époux, c'était avant tout dans un geste de réconfort. Il était si pâle...

On pouvait être assassin, mais se sentir secoué tout de même par ce qu'il se passait. Les cheveux en bataille, Armand se remémorait.

Quelques heures plus tôt, de ses cheveux parfaitement lissés se dressait un épi rebelle à toute forme de discipline. L'homme passait une fois sa main dans sa chevelure. L'épi persistait. Encore une fois. L'épi continuait de le narguer. Armand regarda sa main et eut une petite grimace écoeurée, à avoir ainsi touché autant de fois ses cheveux plaqués. C'est ainsi qu'il se lava une première fois les mains en cette soirée. Mais l'épi, toujours, triomphait par son impertinence. Il tenta encore de lisser ses cheveux du bout de ses doigts, se lava les mains, tenta même d'humidifier la mèche, sans résultat, il se lava les mains encore une fois... Le grondement d'une colère sourde vibrait dans ses tempes, son regard se faisait de plus en plus froid à mesure qu'il contemplait l'image reflétée par le miroir... Puis un bruit le tira de sa colère. c'était un froissement de jupe, délicat et léger, mais quand il s'agissait de Zatanna, l'attention d'Armand était méticuleuse. Elle portait une robe de soirée d’un bleu profond afin d’appuyer la couleur de ses yeux. Mais les broderies dorées de sa toilette coûteuse semblaient presque fades à côté de sa haute chevelure flamboyante, surmontée d’un chapeau foisonnant de plumes. La danseuse sourit à son mari tandis qu’elle finissait d’ajuster une voilette sur ses yeux.

Armand en resta un instant sans voix, oubliant ses mains trop sèches, son épi trop redressé, sa colère... Il sourit à son épouse et sa voix grave vibra avec douceur :

"Oh, ma Zatanna, crois-tu possible de tomber amoureux de quelqu'un alors que l'on aime déjà ? Est-ce un crime de ressentir fondre son coeur alors que l'on est déjà lié avec une autre personne ?"

Armand s'approcha de la jeune femme, lui saisit la main et l'embrassa tendrement. Le sourire de Zatanna s’accentuait, tendre et amusé, tandis que son coeur battait comme au premier jour.

"Il me semble que oui, j'en fais l'expérience, Mme Zatanna Boischevalier. Je suis amoureux de vous, plus que tout, et de vous voir ainsi parée, je crois que mon coeur vient de céder une nouvelle fois à votre beauté."

Il se redressa, regarda amoureusement sa femme en s'approchant d'elle, lui passant la main dans son dos et lui caressant l'arrête du visage avec tendresse.

"Zatanna, je renouvelle ma demande, de grâce, soyez mienne pour l'éternité." Il teinta son sourire de mesquinerie et ajouta "Et ayez la bonté de me tenir compagnie ce soir, qu'au milieu de tout ces hommes endimanché de leur argent et suffisance, je ne me retrouve pas naufragé."

Il présenta son bras à la jeune femme et sourit : "Allons-y ?"

Elle encercla et posa sa main sur le bras ainsi présenté sans un mot car aucun n’était nécessaire.

De fait, ce soir n'était pas un soir comme les autres. Armand appréciait le théâtre, l'opéra, les ballets... modérément. Mais l'image était tout, ainsi, l'homme se forçait à sourire et à construire des critiques intéressantes quand le moment venait, assurant ainsi une conversation agréable et légère, mais indispensable si on voulait se faire connaître un minimum. Oh, il y avait bien des spectacles qu'il aimait voir ! Mais une certaine russe y apparaissait alors systématiquement. Le choix avait été dur à avaler, amer encore aujourd'hui, mais jamais Armand n'aurait réussi à interdire à sa femme de danser. Les gestes étaient trop beaux, son épouse trop rayonnante. Ainsi y allait-il toujours, passant encore un peu plus pour un excentrique notoire, et enfonçait ses ongles dans les accoudoirs des fauteuils quand des mains autres que les siennes se posaient sur le corps de sa femme. De ça, il ne s'y faisait toujours pas.

Mais qu'importait, pour le moment, l'opéra Garnier était le lieu de rendez-vous et Zatanna n'était qu'une spectatrice pour la pièce. Et actrice dans le drame qui allait s'y produire, pensait Armand avec un sourire sombre. C'était professionnellement que le couple se déplaçait. Un travail de routine : ce soir, quand les rideaux dévoileraient le spectacle, les yeux d'un homme se fermeraient dessus, définitivement. Le couple n'avait pas tous les détails et au fond, il leur importait peu. Le futur décédé était-il un homme bien ? Était-il marié ? Avait-il de la famille ? Qu'avait-il fait pour mourir ce soir ?
Mais au fond, qu'importait ?
Tout le monde finissait bien un jour par mourir. Et ce soir, M Vanttu périrait de la main des Boischevalier, fin de l'histoire.

Si avant le couple agissait chacun séparément, leur mariage avait, en plus de les avoir réuni civilement, fait d'eux un duo de meurtrier, agissant toujours ensemble. Armand avait toujours eu l'habitude d'être un solitaire, mais ce soir, quand les salles s'ouvraient à leurs publics, ce fut en compagnie de la plus belle créature que les cieux avaient engendré -selon lui-, qu'il suivît un certain Ernest Vanttu. La loge, à l'étage, des Boischevalier était à côté de ce dernier, certainement, le “hasard” était bien fait.

La soirée débuta comme n'importe quel autre, à l'opéra Garnier. Les violons chantaient, les voix s'élevaient... vraiment, comme ne pas sombrer de plaisir devant un tel épanouissement ? Ernest Vanttu eut l'envie d'applaudir comme un gamin dès que le spectacle commença. Son coeur bondissait dans sa poitrine d'une euphorie non-feinte tandis qu'il assistait à l'un des fameux opéra dans ce bâtiment prestigieux. Ce fut à tel point qu'il ne remarqua pas quand quelqu'un pénétra dans sa petite loge, au premier étage, placée juste sur la parfaite droite de la scène. M Vanttu n'aurait sans doute plus l'occasion de financièrement se payer une telle soirée, alors, il comptait bien en profiter. Pourtant, une main gantée se posant sur son épaule le tira de sa gaieté. Là, devant lui, un homme grand, à l'air aimable et aux cheveux ondulants lui adressait un sourire doucereux, accompagné d'une femme rousse.

"M. Vanttu ? Demanda l'homme d'une voix si discrète qu'Ernest eut presque du mal à la différencier du fond sonore.
- O-oui ? Que-que signifie cette...
- Je vous prie de nous excuser de cette intrusion et d'ainsi perturber ce moment, mais voyez-vous, nous avons une affaire urgente à régler avec vous, ce soir." s'inclina poliment Armand.

Ce dernier jubilait. Il sentait l'incompréhension dans l'oeil de sa victime, savourait son souffle court de suspicions et son incrédulité. Tout était parfaitement calculé et prévu, ainsi, rien n'allait pouvoir gâcher ce doux moment et déjà, Armand ressentait les prémisses de l'adrénaline, quand celle-ci serait à son paroxysme dès qu'il glisserait la lame de sa canne épée dans la gorge de l'homme. Il joua d'ailleurs un peu avec l'innocente petite canne qui passait d'une main à l'autre tandis que d'une oreille distraite, il entendait sa proie lui demander d'une petite voix peinée si l'affaire ne pouvait pas attendre un peu.

Armand se mit à pencher la tête, son regard presque compatissant, et prit une courte inspiration pour répondre que...

L’explosion résonna alors avec force, plongeant la salle dans un chaos de poussières et d'incompréhension. Armand en lâcha sa canne et attrapa les épaules de son épouse, la serrant contre lui un instant et présentant son propre dos face à la scène, réflexe d’un homme voulant protéger son épouse. Mais il n’y eut pas de deuxième éclat de violence, seulement quelques cris de panique et la sensation de chaleurs qui s’éleva doucement.
Malgré tout, celle-ci resta en état de choc pendant quelques instants. L’explosion résonnait encore dans ses oreilles et elle avait du mal à percevoir ce qui l’entourait, comme si un brouillard fantastique s’était élevé dans l’Opéra, étouffant ses sons et ses couleurs.

"Mon Dieu !" Hurla Ernest Vanttu qui s'était penché par-dessus son balcon et observait la scène avec l'épouvante, avec les yeux de celui qui voit un rêve dégénérer en cauchemar. Il se tourna vers ses deux invités imprévus et secoua les bras. "Il faut partir, vite ! Nous règlerons cette affaire plus tard !"

Armand toussa un peu, caressa avec douceur l'épaule de Zatanna et se tourna avec un calme froid vers l'homme qui exhortait à sauver leurs vies à tous.

"Je crains que ce ne soit pas possible."

Il ramassa sa cane épée, l'essuya du bout du doigt et eut une mine dégoutée quand il remarqua la poussière imprégner le bout de ses gants. Il tenta d'analyser la situation, voyant le feu manger le rideau rouge, la foule sortir avec pragmatisme et entendant les bruits des pas affolés venir de part en part. Armand fronça les sourcils et grogna :

"Je déteste bâcler un travail."

Puis avec violence, il abattit sa cane sur le crâne d'Ernest Vanttu avant que ce dernier ne prenne une expression d'incompréhension. Le choc fut bref, le bruit sourd et le sang perla sur ce front que le coup faisait partir en arrière. Ernest bascula par-dessus son balcon et tomba, tandis que dans un froissement sauvage, le rideau rouge se déchirait, trop grignoté par le feu pour se laisser porter par son soutien. Dans une danse de rouge et d'orange, carmin et pourpre, la chaleur incandescente du rideau tomba sur le corps inanimé de M. Vanttu, le faisant disparaître à jamais ; le rideau était tombé, lui aussi. La prochaine fois que quelqu'un entendrait ou lirait son nom, ce serait dans la rubrique des disparus de l'horreur qui s'était déroulée à l'opéra Garnier.

Armand n'avait pas attendu son reste. Il avait vu le corps choir et disparaitre dans un drapé léchée par le feu. Aucun doute, son contrat était accompli. D'une manière si peu élégante qu'il en avait honte, certes, mais néanmoins fait. Là, avec détermination, il avait invité sa femme à sortir, longeant les couloirs qui évacuaient une foule disciplinée vers la sortie. Ses mains accrochée à son épouse comme si sa vie en dépendait, c'était avec soulagement qu'Armand avait enfin atteint les prémices de la sortie... et avec horreur qu'il avait contemplé son reflet dans un miroir.

Son costume noir était gris de poussière. Sa chemise blanche présentait des tâches noirâtre. Son visage était barbouillé de suies et ses joues étaient rosies par la chaleur. Enfin, ses cheveux étaient en bataille, décoiffés par le souffle de l'explosion. Triomphalement, l'épi s'était redressé, exhortant d'autres mèches à mener la même rébellion face à cette discipline forcée. Pire. Le diamant qu’était sa femme était également dans un triste état.

Amand Boischevalier avait aussitôt pâli de se voir dans un tel état, ses jambes s'étaient mises à trembler et devenir moins fortes, tandis qu'il enserrait un peu plus les épaules de Zatanna dans ses bras. Le souffle court, l'homme s'était alors concentré à ne pas faillir, à rester digne et fort, voulant soutenir son épouse en respirant un semblant de confiance. Rien à faire, l'idée même de l'image qu'il présentait aux autres suffisait à le rendre malade et cette dernière persistait avec arrogance à s'imposer dans son esprit.

De son côté, son épouse reprenait des couleurs alors qu’il en perdait. Voir son aimé dans un tel désarroi lui rendait les forces que l’explosion lui avait arrachées. Il avait besoin d’elle. Sa colonne se redressa, elle se serra un peu plus contre son mari afin de lui rendre la tâche plus facile.

On les appela, les Boischevalier ne répondirent pas. Armand ignora toute la foule extérieure, ses oreilles bourdonnant d'un malaise constant. Puis finalement, on les laissa tranquille, les deux jeunes gens marchaient sans trop de difficultés, semblaient tout au plus choqués et apparaissait comme un couple simple voulant rentrer chez eux respirer l'air doux de la paix de leur domicile.

L'épi se dressait toujours avec triomphe tandis qu'Armand retenait un hoquet d'effroi, alors que ses souvenirs lui imposaient avec force cette image si choquante qu'il avait vu à l'opéra. De toute sa vie, jamais Armand n'aurait cru pouvoir voir ça ; jamais il n'aurait un jour pu s'imaginer aussi sale après un simple contrat.

C'en était choquant.

Theatrum Mundi

Pour terminer ...

    • Pseudonyme : Ecundemi, Cuncun ou Scargotte, généralement =3 Mais j’veux bien qu’on me nomme Armand ici.
    • Âge : 24 ans. Et ouais, déjà...
    • D'où nous venez-vous ? Un peu de l’Enaé, beaucoup de Zatanna qui m’a parlé de ce forum qui avait une chance de pouvoir nous permettre de concrétiser ce duo qu’on avait en tête depuis un bon moment.
    • Avez-vous lu le règlement ?Ouip, même que Félix Faure, il serait super fier de moi !
    • Quelque chose à nous dire ? Je ne suis pas historien pour deux sous, je ne connais pas l’époque, j’ai peur ! Pitié, ne me mangez pas !
    Sinon, je trouve le forum joli et agréable, j’espère que je m’y sentirai bien =3
    Et je sais que ça fait longtemps qu'on attendait cette fiche, toute mes excuses @_@ j'ai été long à l'écrire et me voilà totalement hors délai. Merci d'avoir attendu malgré tout !
    Et merci à Zatanna pour sa participation ! (en italique)



Dernière édition par Armand Boischevalier le Mer 26 Oct - 12:06, édité 4 fois (Raison : Ce soir, j'ai du mal avec le bbcode... -.-)
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptySam 29 Oct - 4:55


Bonjour Armand et re-bienvenue parmi nous !
Je tenais à m'excuser de ce retard dans la lecture de ta fiche. Mes jours ont été très chargés ces derniers temps, et je n'ai pas eu l'occasion de croiser Pamina, ma chère collègue, pour en discuter. Cependant, nous ne t'oublions pas et je te promets des nouvelles pour bientôt ! Wink
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptySam 29 Oct - 8:55

Aucun soucis !

Au contraire, prenez tout votre temps ! (On me sent rassuré ? C'est normal ! )
Comme ça, je me concentrerai sur mon boulots à faire x)

Bref, pas d'soucis !
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptyMar 1 Nov - 4:30

Et me revoilà en selle, après quelques jours un peu brumeux. x)
J'ai donc lu (et relu entre temps) ta fiche avec attention. Elle est globalement bien écrite, agréable à lire et le personnage présenté y est très intriguant. Je me permets cependant de relever quelques éléments, ça et là :

  • J'ai relevé quelques fautes, notamment dans les participes passés. Beaucoup de "prit", de "soumit" au lieu de pris, soumis, de "a grandit" au lieu de "a grandi", par exemple.

  • La maniaquerie de la propreté me semble être une névrose un peu en avance sur l'époque, en fait. On est déjà dans des précautions d'hygiène, dans les milieux scientifiques, mais je ne vois pas trop comment Armand, de par ses origines, aurait pu avoir vent de ce genre d'idées, et comment il aurait pu les intégrer assez fort pour avoir cette manie de la propreté. A la limite, être obsédé par son apparence, la nécessité d'être impeccable aux yeux du monde, cela peut se tenir, mais une névrose de la propreté me semble plus difficile aux yeux d'une époque où prendre un bain par mois est déjà considéré comme un luxe.

  • Pour ce qui est du meurtre à l'Opéra, je dois avouer que cela me gêne. C'était déjà assez invraisemblable pour Zatanna, mais nous avons fait passer une fois (parce qu'après tout, les exceptions, ça existe). Mais deux, sur peu d'intervalle - dont un en même temps que l'attentat ? Tout d'abord, pour avoir été dans des loges d'Opéra, je peux affirmer qu'on n'y assassine pas discrètement quelqu'un comme ça : on est tout de même face aux autres loges, à la salle, et beaucoup de ces places ont été faites pour être, justement, vues du public. C'est aussi tout petit, donc on ne s'y déplace pas très facilement. A côté de ça, la probabilité d'avoir un meurtre ET un attentat le même soir doit être particulièrement faible. Puis, il y eut certes un incendie, mais les pompiers sont intervenus ; et la médecine légale existe. Un cadavre avec le crâne défoncé, surtout s'il est reconnu comme quelqu'un d'important, va alerter les soupçons. Du coup, je suis un peu embêtée avec cette histoire, parce que j'ai l'impression que les meurtres perpétrés par Zatanna et Armand sont un peu voyants tout de même (la Police n'a certes pas nos moyens d'aujourd'hui, mais il lui arrive de faire son travail, et vous officiez dans vos deux posts dans des lieux très quadrillés, très peuplés). Je pense que s'ils veulent tenir un peu plus de quelques jours en jeu, il faut qu'ils divisent leurs activités : on assassine dans des chambres d'hôtels, des ruelles sombres, des bordels ; et on apparaît sous son plus beau jour dans le monde. Cumuler les deux en un même endroit me semble très difficile ...

  • Enfin, dernière chose et non des moindres, le personnage me semble un peu trop ... Parfait. Je ne pense pas que tu sois le genre de joueuse à abuser des possibilités de tes personnages, mais j'aimerais cependant qu'Armand ait une petite faille, quelque petite faiblesse qui puisse le rendre attaquable. Cela peut tenir à quelques maladresses dans le monde, une faute de goût récurrente, une manie un peu déplaisante, ou le fait qu'il perde ses moyens dans une situation donnée ... Parce que là, le personnage, aussi intriguant soit-il, se présente comme un roc, une véritable forteresse, et peut perdre, un peu, de son humanité. Serait-il possible de montrer un peu où le bât blesse, dans son évolution dans le monde ?


Voilà, j'espère sincèrement ne pas te décourager avec ce relevé (qui n'est pas si long, pour une fiche de cette taille, quand on y pense). N'hésite pas à me dire si tu as des questions. ^^
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptyMer 2 Nov - 3:53

Hello !

Je me permets d'intervenir car ça me regarde de près : nos deux personnages fonctionnent ensemble et j'ai besoin d'Armand si je veux entrer dans l'intrigue. J'espère que ça ne dérange pas trop que je réponde ici...

Si je ne me trompe pas, l'obsession d'Armand pour la propreté découle essentiellement de son obsession de bien présenter, mais ce sera à lui de vous confirmer ça. Et je pense que cette particularité est justement l'une des failles que tu réclames pour le personnage. En tout cas, pendant ce récit, c'est l'impression que j'ai : le pauvre Armand a l'air de ne plus savoir où il habite. Si ça ne suffit pas, il faudra en discuter avec lui.

Mais bon, ça ce sont des détails qui concernent surtout Armand... Ce qui me concerne plus, c'est le meurtre à l'Opéra. Bon, on ne sait pas exactement quel était le plan de base d'Armand et Zatanna, mais ce n'est pas vraiment important.
Si les choses se passent comme ça, ce n'est pas pour montrer que nos personnages sont trop forts et qu'ils peuvent tuer n'importe qui n'importe quand en toute impunité. On a choisi de faire cette scène pour entrer dans l'intrigue. Je ne peux pas parler pour Armand, mais en ce qui me concerne, j'attends que nos personnages aient des problèmes à cause de ça. Alors oui, on a peut-être vu les Boischevalier dans la loge de ce cher Ernest, on verra que son crâne est brisé et je m'attends à ce qu'il y ait une enquête.

Voilà, je crois que c'est tout ce que je voulais dire. Peut-être Armand a un avis un peu différent sur la question, auquel cas je le laisse parler. =)
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptyJeu 3 Nov - 0:39

Bonjour Zatanna !
Pas d'inquiétude : vos deux personnages fonctionnent de concert et je ne trouve pas cela déplacé que tu postes dans la fiche d'Armand.

En te lisant, je comprends mieux déjà cette obsession de l'impeccable d'Armand. C'est intéressant d'ailleurs : peut-être ai-je été mauvaise lectrice, mais je ne l'avais pas sentie en ces termes dans son texte. En tant que faille, faiblesse, je pense que cela peut suffire, s'il en développe les implications. Il faudra juste faire attention aux termes dans lesquels elle est formulée : une névrose de l'hygiène est un peu anachronique, tandis que l'obsession d'être impeccable, irréprochable peut tout à fait se tenir.

Et pour l'affaire Opéra, je comprends mieux où vous vous voulez en venir également :) Si ces "erreurs" ont été perpétrées volontairement et avec la conscience des conséquences qu'elles peuvent entraîner, je ne vois pas en quoi je viendrais les remettre en cause. Parce qu'il y a un risque, en effet, qu'au vu du cadavre, la police se lance sur une enquête - et s'il y a des fuites, que cela passe dans les rumeurs ! Ce serait peut-être bien qu'on ait l'occasion d'en discuter, si vous voulez vous choisir un témoin parmi les PNJs présents, par exemple.

Dans tous les cas, je suis satisfaite par tes réponses. J'aimerais peut-être un petit mot d'Armand pour confirmer ou infirmer ces éléments, et je pense pouvoir dire que ce sera bon. ^^ Merci d'avoir posté, Zatanna !
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptyVen 4 Nov - 10:26

Toutes mes excuses pour ce délai de réponse beaucoup trop long @_@

Je ne boudais pas (je le jure !), ni rien... j'ai juste eut une otite et une masse de boulot qui a faillit me transformer en petit tas de poussière.

Bref, Pardon ! Embarassed

Alors, déjà, merci à ma Zatounette pour avoir prit ma défense I love you

Et pour répondre moi même...
  • Pour l'orthographe, oui, je... je sais que c'est un gros point noir. Ainsi que la conjugaison, grammaire, accords, construction des phrases et j'en passe >.>
    Il faut pourtant savoir que les fiches sont les textes sur lesquels je mets le plus d'effort : comme dit à Zatanna, je préfère corriger moi même, car passer d'un "son rire se fit hautain et moqueur" à "île di alor "lol" " (ok, j'exagère), j'ai toujours pensé que c'était un peu du mensonge envers l'administration x)
    Mais j'essaye de bien me faire voir pour arriver, je relis, je laisse la fiche mijoter jusqu'à m'en être totalement séparée, je relis, je passe à bon patron, etc... Mais ce n'est de toute évidence pas suffisant, puisque c'est la première remarque qui ressort.
    Alors question : est-ce que ce niveau bas d'orthographe ne va pas m'handicaper ici ?
    Car ce que je sais, c'est que je ne suis pas assez patient pour fournir le même effort à chaque réponse (ce serait trop long, en plus, pour mes partenaires de jeux) et je me connais assez pour savoir que je ne veux pas déranger quelqu'un à ce qu'il corrige mes réponses... é_è
    Ne nous méprenons pas, j’accepte tout à fait de corriger les fautes de cette fiche !
    Mais je me demande juste si alors, j'ai le "niveau" pour continuer ici.

  • Pour la névrose de l'hygiène, hum (ça va paraitre facile comme réponse mais) je voyais un peu ça comme Zatanna. Une obsession à ce que tout soit parfait sur lui et autour de lui. Si un siège lui semble poussiéreux (parfois à tord) il ne voudra pas s'assoir dessus, pour ne pas se salir. Ensuite, je pense que je peux tenter d'adapter ça aux "normes d'hygiène" de l'époque. Il ne va pas être obsédé à se dire qu'il lui faut du gel hydroalcoolique dès qu'il sert une main (exemple anachronique, mais c'est juste pour illustrer !) à cause des bactéries, mais peut-être que s'il sent une crasse sur sa main, de la terre ou autre, ça, ça va le gêner. Et c'est presque plus une maniaquerie envers lui même, le fait qu'il faille qu'il soit irréprochable visuellement qui le fait être très à cheval sur la propreté. Je ne sais pas si je suis très clair et je pense qu'il faudrait vraiment que je lise des ouvrages racontant cette époque pour me mettre un peu mieux dans le bain >.<

  • Pour le meurtre... Heum, et bien... J'ai pas grand chose à dire de plus que Zatanna. Nous sommes de grands sadiques avec nos personnages, s'ils sont dans la merde, tant mieux. Le contraire serait triste. x)
    Par contre, je ne pense pas que le meurtre dans la fiche de Zatanna et dans celle-ci soient vraiment proche. Le premier conte la rencontre entre Zatanna et Armand, le deuxième se passe quand ils sont installés et marié. Combien même on peut imaginer que le tout se soit fait rapidement, personnellement, j'imaginais quand même qu'un bon bout de temps ce serait passé...
    Mais si ça gène vraiment, je peux toujours voir avec Zatanna pour changer ça. :) (même si j'avoue que je préfèrerai rester avec cette histoire x) )

  • Pour le personnage parfais : pas de soucis, je peux ajouter et changer des éléments qui le rendront plus imparfait ! J'étais un peu hésitant sur ce point, ça confirme ce que je craignais : j'ai abusé et trop développé ses côté "bogos" x)
    Je peux bien ajouter que déjà, bah, le monde mondain, il ne le connait que par apprentissage tardif. Ce n'est pas naturel, ainsi, parfois on peut l'imaginer trop machinal dans ses réponses, qu'il jette souvent un froid à ne pas bien comprendre l'humour mondain, qu'il s'agace vite et que même s'il parvient à maitriser ses grosses colères, on perçoit quand même ses agacements par quelque tics nerveux, que parfois il agit étrangement, qu'il a un égo trop grand, qu'il perd ses moyens si on se moque de lui où qu'on (ou il) brise sa carapace parfaite. De même, s'il lui arrive un truc qu'il ne considère pas comme convenable (genre tomber, se montrer maladroit, avoir la langue qui fourche ou que sais-je !), je pense qu'il doit se terrer pendant un bon temps chez lui, trop honteux pour montrer son visage et qu'il doit déprimer et perdre toute consistance et assurance. J'imagine facilement qu'il doit se faire des films. Genre si une mèche de cheveux lui tombe devant les yeux, ou s'il a un grain de poussière sur son costume, il doit ressasser des "mais il a vu, il doit penser que, il va dire que, ma réputation..." etc. Ce n'est pas vrai, mais lui, ça doit l’obséder.
    En fait, cette remarque est très bonne et me permet de développer un peu le personnage, j'avoue le faire souvent en jeux et là, je me suis trop concentré sur le côté idéal que doit représenter Armand.
    Mais quoi qu'il en soit, est-ce que ça te conviendrait ?


Et, hum, j'attends tes remarques avant d'éditer ma fiche, qu'on arrive à un résultat qui nous satisferait tout les deux =)
Ce serait l'idéal.

Merci pour le temps que tu as consacré à cette fiche et... Encore pardon pour ma réponse tardive @_@ (et qui en plus, te donne encore du boulot. Vraiment pardon )
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptyVen 4 Nov - 10:58

Si tu ne boudais pas, ça va !

Pour répondre dans l'ordre :

~ Pour l'orthographe, je crois que tu noircis le tableau tout de même ! J'ai remarqué quelques fautes par-ci par-là, mais je n'ai vu d'horreurs syntaxiques ni rien. Si tu fais un minimum attention dans tes posts, ça passera bien, je pense. En fait, celles que je repèrent le plus, ce sont celles avec les t ou non sur les participes passés. Si ça peut t'aider et si tu veux, je peux te faire un petit rappel de règle personnalisé, mais tu n'es pas obligée d'accepter. xD

~ Pour la maniaquerie de la propreté, pas de souci si tu fais attention aux concepts utilisés. Et si tu cherches une lecture sur l'évolution de l'hygiène et de la propreté dans l'histoire, je te conseille Le Miasme et la jonquille d'Alain Corbin, qui retrace très concrètement l'histoire de la propreté et du rapport au corps de la fin du XVIIIe à la fin du XIXe. Ce n'est évidemment qu'une suggestion, mais j'aime bien ce livre, alors comme j'ai l'occasion de le conseiller. :p

~ Comme j'ai dit à Zatanna, si vous avez envie de vous confronter aux conséquences de cette action (et donc l'envisager d'un point de vue vraisemblable et cohérent), nous sommes prêtes avec Pamina à réfléchir là-dessus et à vous concocter un petit quelque chose. ^^

~ Enfin, il est vrai que tu as peut-être insisté sur le côté parfait du personnage. Cependant la façon dont tu en parles dans ta réponse montre qu'il peut comporter des failles réelles, parfois drôles, parfois plus tragiques. Si tu utilises aussi ces aspects-là dans le jeu, il n'y aura aucun problème - et cela peut créer des situations cocasses ou complexes en jeu. Donc en un mot, cela plus-que-convient. De plus, comme tu viens de bien décrire ces aspects-là dans ta fiche, je pense qu'il n'est pas nécessaire d'éditer. Comme on est d'accord sur ce que tu viens de proposer, passer ces éléments dans la fiche relèverait plus d'une simple formalité d'officialisation. ^^

Et sur ce, je te valide comme promis ("J'aimerais peut-être un petit mot d'Armand pour confirmer ou infirmer ces éléments, et je pense pouvoir dire que ce sera bon. "). Dans cinq minutes, tu seras tout rouge, avec 120 de Mondanité et 200 d'Infamie. Wink

En te souhaitant un bon rétablissement !
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MessageSujet: Re: Armand Boischevalier.   Armand Boischevalier. EmptyMer 9 Nov - 10:14

Oh, oh, merci ! Very Happy

Pardon pour le délai de réponse, mes études me noient un peu (pour le 22, j'ai 9 format raisin à faire, 1m*2m50, un exposé de 20 pages, des recherches par dizaines et un glossaire ! Plus 36 autres trucs à côté. Tout va bien. Et le 23, je dois paraitre en forme pour le salon européen des étudiants où je mangerai des petits fours serais à l’inauguration, fuh fuh fuh Armand Boischevalier. 921439 ) Bref.

Merci pour la validation et tout ça ! Merci beaucoup et je vais essayer de faire de mon mieux ici ! Je vais essayer de vite participer ! Malgré le boulot.

Et merci encore pour le conseil de lecture, je vais m'y mettre.

Enfin, certain de ne pas vouloir que je modifie un peu le tout ?
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