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| Madame Zatanna Boischevalier | |
| InvitéInvité
| Sujet: Madame Zatanna Boischevalier Dim 11 Sep - 1:37 | |
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Tout esprit profond s'avance masqué
Description physique & psychologique : “ | Avec une curiosité non dissimulée, les petits rats observaient les danseuses du Tsar qui répétaient sur la scène de l’Opéra. C’étaient des étrangères, elles auraient dû faire tout différemment, mais les petites parisiennes se rendaient compte avec déception que leurs exercices étaient les mêmes, leurs pas étaient les mêmes. L’une d’entre elles attira cependant leur attention plus que les autres. C’était probablement parce qu’elle était la plus mince et la plus grande. Ou alors était-ce sa chevelure rousse, seule à flamboyer au milieu des blondes et des brunes ? Elle n’était pas plus douée que les autres. Elle avait pourtant… quelque chose. Il y avait de l’acharnement dans ses piqués, une énergie étrange dans ses pirouettes, une assurance presque masculine dans son port. Elle dansait comme les autres, mais elle parvenait à le faire de manière scandaleuse, sans qu’on sache ni pourquoi, ni comment. Même sa beauté avait quelque chose de déviant. Sa silhouette, au lieu d’être toute en courbes, était osseuse, sa musculature, sèche. Elle avait les bras bien trop fragiles et ses jambes s’allongeaient avec indécence, mais les petits rats enviaient la cambrure parfaite de ses pieds (pas assez petits, par ailleurs) et la grâce des mouvements de ses mains (trop effilées, cela dit). La sueur qui perlait sur son corps et son visage étrange ne semblait ni la gêner, ni l’enlaidir. Son teint clair rougissait sous l’effort, mais ses traits n’en étaient pas moins attrayants. Comme l’on imaginait toute femme slave, elle avait de grands yeux clairs aux paupières alanguies et des pommettes hautes et saillantes. En revanche, son nez minuscule et asymétrique était aussi inattendu que ses lèvres trop pleines étaient vulgaires.
La répétition se termina et les danseuses russes s’égayèrent. La grande rousse remarqua les jeunes parisiennes qui les observaient depuis les pendrillons, côté jardin. Elle s’approcha d’elles avec un sourire joyeux et les petits rats envisagèrent un instant de se disperser et de faire comme si de rien n’était. Mais il fut vite trop tard pour cela, car la russe les avait déjà rejointes avec ses grandes enjambées. « Bonjour ! S’exclama-t-elle avec un accent léger et charmant. Puis-je me joindre à vous ? » Les jeunes danseuses acquiescèrent toutes, polies et intimidées. Pourtant, vu de plus près, la ballerine slave ne paraissait plus aussi grande, plus aussi impressionnante. Elle semblait à présent simple et chétive. L’on avait l’impression que la toucher du doigt la briserait en mille morceaux. Le petit groupe se trouva un coin à l’écart. Les jeunes filles partagèrent des exercices d’échauffement et des pas de danse tout en discutant, notamment du pays et des origines de la danseuse russe qui s’était présentée sous le nom de Zatanna. La rousse racontait des histoires fascinantes et parfois terrifiantes sur les mœurs russes, mais elle le faisait avec une sobriété et une naïveté délicieuses. La Zatanna semblait s’étonner de l’horreur qu’elle suscitait parfois dans son nouvel entourage. Pour la pauvre enfant, les mariages consanguins et les dévoreurs de cadavres étaient de toute évidence les choses les plus naturelles du monde. Les petits rats étaient ravis. La russe les divertissait admirablement et sans même en avoir conscience, semblait-il. Par ailleurs, elle était de compagnie charmante. Douce, simple, sociable, il était facile de converser avec elle, mais aussi de la prendre pour une agitatrice de jambes écervelée comme les autres.
Ce qu’elle n’était pas mais qui l’arrangeait bien. D’apparence naïve, personne ne la considérait comme dangereuse, si ce n’était pour le cœur et la vertu des hommes sensibles à ses charmes. Mais c’était bien le dernier des dangers qu’elle représentait. Ayant la plupart des hommes en horreur, elle était fidèle jusqu’à la moelle à Armand. Elle supportait les baisemains avec une répugnance bien dissimulée. Les doigts trop baladeurs étaient quant à eux menacés d’une amputation douloureuse exécutée par son cher et tendre époux. Ne nous y trompons pas, Zatanna était effectivement de nature joviale et c’était sans déplaisir qu’elle se mêlait à la société mondaine. Elle éprouvait un bonheur pur en manipulant un auditoire avec ses histoires scabreuses, énoncées avec une innocence réelle. La jeune russe n’avait aucune notion de bien ou de mal, par manque d’éducation. Ou manque de propagande, aimait-elle à penser. Très jeune, elle s’était rendu compte qu’il était plus difficile qu’il n’y paraissait de tuer quelqu’un mais qu’elle était capable de le faire. La moralité empêchant les bonnes gens de s’adonner au meurtre, cette capacité lui était apparue comme une sorte d’atout qu’il aurait été idiot de mettre de côté, étant donné sa situation précaire. Vous imaginez bien qu’un être comme la Zatanna vit libre de tout regret et de tout scrupule. Ayant trouvé l’homme de sa vie qui lui ressemblait et partageait ses opinions, on pouvait difficilement trouver plus heureuse que cette aimable tueuse. Oh ! il ne lui manquait qu’une chose : une automobile. La Zatanna était fascinée par toutes les fabuleuses avancées technologiques de son époque. Ah ! Ne faisait-il pas bon vivre et mourir en 1896 ? |
Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose.
Texte d'introduction au personnage ou Test RP : “ | Quelques violons, doucement, s'éveillaient et laissaient leurs sons s'élever dans les airs, dansant entre aiguë et grave au rythme de l'Introduction fantastique.
Adorable.
D'un merveilleux et exquis ennui, vraiment. Armand ne détestait pas les ballets. Habituellement, il avouerait même apprécier la chose. Mais ce soir, l'homme s'ennuyait. Il y avait des soirs où l'envie de rester tranquillement chez soi prévalait au-dessus de toute chose. Ce soir en était, mais hélas ! Les mondanités et Paris ne se soucient guère de nos envies, il faut bien le dire. Il se tenait bien, droit et fier, attirant le regard de quelques jeunettes, mais sa concentration allait plus à retenir ses soupirs qu'à la musique, tout en n’y paraissant pas non plus.
Exercice difficile, il en loupa presque le lever de rideau, l'apparition des danseurs, des danseuses. De la Danseuse, comme celles qui méritent leurs majuscules à chaque fois que l'on parle de leur profession. Dès que l'on pense à elles. À elle.
Très sincèrement, si quelqu'un demandait à Armand ce qu'il avait pensé de cette soirée, il aurait été incapable de parler de la pièce. Avec détails, il aurait pu cependant décrire le dos régulier de Nouredda, les voiles légers et vaporeux qui recouvraient ses magnifiques jambes, chaque boucle, chaque nuance qui s'était perdu dans ses cheveux, du goût de cuir qu'avait la pièce... De cuir ? De cuir. Non poussé par la faim, peut-être d'avantage par ressentiment, l'homme passa sa soirée à grignoter son gants, oubliant presque alors qui il était, ou plutôt, ce qu'il devait être.
Toute la soirée, il n'eut qu'elle sous les yeux, qu'elle au bout des lèvres, qu'elle dans son esprit. Seulement elle...
[…] Zatanna entra dans sa loge essoufflée et en sueur. Elle se laissa tomber dans le siège qui faisait face à la coiffeuse. Avant qu’elle ne commence à ôter son maquillage de scène, quelque chose attira son attention dans le miroir. Elle se figea en voyant un homme lui sourire, se déplacer lentement vers la porte et en fermer le loquet. Puis, comme si cette présence ne la gênait pas, elle commença à appliquer une huile sur son visage avant de la rincer à l’eau. Elle retira les dernières traces de maquillage à l’aide d’une serviette. L’homme semblait surpris par cette indifférence. Mais il cacha vite sa déception. Glissant sa main à l’intérieur de son veston avec un large sourire, il en sortit un papier indigo et parfumé, soigneusement plié en trois. Il s’éclaircit la gorge. « J’ai découvert votre message avec une agréable surprise… » Zatanna tourna son visage vers lui et arbora l’expression la plus charmeuse qu’elle pouvait. Le sourire de l’homme s’accentua et il interpréta ce signe comme une invitation. Une lueur vorace dans les yeux, il s’approcha à pas lents de la jeune russe. Lorsqu’il fit glisser ses mains – nues ! – sur la ligne de sa mâchoire, elle ferma les yeux et dans sa tête résonna la voix de sa mère. Les hommes sont tous des porcs ! Les hommes sont tous des porcs ! Les hommes sont tous des porcs ! Quand Zatanna sentit les lèvres de l’intrus se poser sur sa nuque, le rouge de la fureur lui monta aux joues et elle ouvrit brusquement ses yeux bleus. Le dégoût saccadait sa respiration alors que sa main se faufilait dans le tiroir à demi ouvert de la coiffeuse. Elle chercha silencieusement et à tâtons avant de toucher le métal froid et rassurant du stylet. Elle s’en saisit pendant que le présomptueux personnage qui osait l’effleurer aventurait une main audacieuse sur sa gorge. Le bras de Zatanna s’éleva à la vitesse de l’éclair pour enfoncer la lame étroite dans celle de l’homme. Mais elle avait agi sous le coup de la colère et n’avait pas parfaitement réussi son coup. Au moins ne pouvait-il plus hurler, à présent. Zatanna visait toujours la gorge en premier. L’homme la regardait, les yeux exorbités, la bouche ouverte, en émettant un faible gargouillis. Avant qu’il ne puisse se remettre de ses émotions, la danseuse se leva et se jeta sur lui pour le plaquer au sol. De ses mains expertes, elle dénoua sa cravate pour en faire un bandage rapide. Il était hors de question que l’homme se vide de son sang dans sa loge. L’intéressé, même s’il avait du mal à comprendre la situation, se doutait bien que la demoiselle n’agissait pas dans son intérêt et il se mit à gigoter comme un beau diable, donnant bien du mal à Zatanna. Elle s’arma à nouveau de son stylet, visant cette fois la tempe. Mais sa victime, manquant cruellement de savoir périr, tourna la tête et elle ne fit qu’érafler son front. C’était toujours la même chose. À ceux qui n’en commettaient pas, les meurtres paraissaient d’une facilité déconcertante. On parlait de la vie comme d’une petite chose fragile si facile à détruire. Zatanna, quant à elle, avait constaté qu’elle proliférait, s’acharnait, se débattait, persistait. Comme l’homme qu’elle affrontait. Il réussit à dégager une jambe et donna un coup de genou dans le ventre de la jeune fille. Il se dégagea d’elle, se releva et se précipita en courant vers la porte de la loge. L’homme s’acharna sur la poignée comme un fou. Le temps qu’il se rappelle qu’il avait lui-même mis le loquet, Zatanna put se relever en se tenant les côtes, le souffle coupé. Les choses empiraient encore plus que d’habitude. La jeune russe n’aurait jamais dû accepter ce contrat…
L’élégant monsieur qu’elle devait assassiner s’était fait trop d’ennemis à son goût à Saint-Pétersbourg et s’était exilé en France. Mais ses frasques continuaient de gêner ces messieurs de la Venise du Nord (et pas seulement, à ce qu’il semblait) et l’on avait demandé fort aimablement à Zatanna de profiter de son court séjour à Paris et de la représentation de La Source pour faire disparaître l’importun qui ne manquerait certainement pas tel spectacle, amateur de jolies gambettes comme il l’était. Les conditions de ce contrat étaient déplorables. Zatanna n’avait pas eu le temps de préparer son coup avec minutie, comme elle en avait l’habitude, et elle était forcée de tuer à l’Opéra même, ce qu’elle se serait refusée à faire en temps normal. Mais cette occasion ne se serait jamais présentée à nouveau et Zatanna, enthousiaste enfant qu’elle était, avait voulu s’essayer à l’improvisation. Si sa victime s’échappait, il était certain qu’on ne l’y reprendrait plus. Il ne fallait surtout pas que cela arrive.
Le loquet enlevé, l’homme ouvrit grand la porte de la loge. Mais Zatanna n’entendit pas ses pas sur le parquet alors qu’il s’enfuyait. Au lieu de cela, il émit un nouveau gargouillis. La jeune fille leva les yeux, surprise. Sa cible s’était retrouvée nez à nez avec un jeune homme à la mise parfaite. Il était plus beau que tout ce que la danseuse avait pu voir jusqu’à présent. Si beau qu’elle ne put esquisser le moindre mouvement. Son visage glabre et magnifique affichait un calme anormal et le cœur de Zatanna manqua un battement. Qu’allait-il faire ?
Grimacer. Retrousser la lèvre supérieur en détaillant encore un peu sa chemise, sa superbe chemise blanche où des auréoles rouges s'étendaient doucement. Du sang ? Du sang sur son immaculée chemise ? La colère froide et sourde lui faisait hausser un sourcil dédaigneux, supérieur, contre l'homme à genoux, dont il tenait les cheveux. De sa main gauche, il enfonça lentement un pouce dans l'oeil, trop malade de rage pour se rendre compte de ce qu'il faisait. De sa main droite, il enfonça un peu plus un petit couteau qu'il dissimulait habituellement dans sa manche dans la gorge de l'homme.
L'importun fit encore un gazouillis, ses lèvres colorées par une écume rouge, son œil pleurant plus que jamais. Là, Armand leva enfin les yeux et croisa le regard bleu de la jeune femme. Il laissa alors tout tomber. Littéralement. L'homme, le couteau, son énervement... « Mon ange ! S'exclama-t-il. Vous étiez... merveilleuse ! Quoi que ce mot est encore loin de pouvoir définir l'éblouissement dans lequel vous m'avez plongé. Ah ! Je ne suis pas venu les mains vides, ce serait déplacé. » Il chercha et trouva le bouquet de rose (comment diable s'en était-il procuré si vite et si tard ?), tombé à terre si promptement. Il le tendit à la jeune femme et ajouta, avec un sourire : « Le rouge vous va à ravir. »
Oublié, le cadavre sur le sol, oubliée la lutte acharnée qu’elle avait menée pour accomplir sa mission. Le nouvel arrivant occupait à présent tout l’univers de Zatanna. Cet homme splendide qui, tel un prince charmant sur son cheval blanc, venait de lui sauver la mise en achevant ce fat qui refusait de se laisser tuer. La jeune fille écarquillait les yeux d’émerveillement. Lorsque le jeune homme sembla s’apercevoir de sa présence et lui adressa la parole, elle sursauta et se mit à rougir, le cœur battant la chamade. Ce n’était pourtant pas la première fois qu’on la complimentait, mais c’était la première fois que cela l’affectait tant. Ses yeux passèrent rapidement de l’homme aux roses et des roses à l’homme, de plus en plus ébahie. Elle finit par les accepter en les prenant doucement dans ses mains, comme s’il s’agissait d’un objet de verre. Elle voulut le remercier, mais sa voix resta d’abord coincée au fond de sa gorge, si bien qu’aucun son ne s’échappa de sa bouche entrouverte. Quelques secondes passèrent. Enfin elle parvint à parler d’un timbre timide : « Je… Merci, monsieur, elles sont superbes. Je… Qui êtes-vous ? - Quelqu'un qui n'a pu s'empêcher d'enrager de voir d'autres mains masculine que les siennes sur votre corps,dit-il sans détour, ne se souciant plus des bonnes mœurs. » D'un franc coup de pied, Armand dégagea la jambe du moribond qui le dérangeait. Il se mit à genoux devant la belle danseuse et déclama : « Quelqu'un que vous ne connaissez pas, mais qui vous offre sa vie pour que vous en ayez l'occasion, quelqu'un qui n'arrive plus à détourner ses pensées de vous ! Vous êtes la plus merveilleuse créature qu’il m'ait été donné de rencontrer, je vous souhaite à mes côtés pour toujours. Je suis amoureux, ma dame, et je suis Armand. » | Les paragraphes en italiques sont rédigés par Armand lui-même. Merci pour sa contribution. <3Theatrum Mundi
Pour terminer ... • Pseudonyme : Sweet Snail, la plupart du temps. • Âge : L’âge de mon personnage, déjà. ;__; • D'où nous venez-vous ? De l’Enae Volare. • Quelque chose à nous dire ? Ça fait longtemps qu’on voulait jouer ce duo de personnages avec Armand et c’est le forum idéal pour ça. *.* Il est vraiment très bien fait et très intéressant. C’est tellement rare les forums historiques bien documentés.
Dernière édition par Zatanna du Boischevalier le Dim 11 Sep - 6:40, édité 1 fois |
| | | Pierrot LunaireLa bouche clownesque ensorcèle comme un singulier géranium
Messages : 2896
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Dim 11 Sep - 2:08 | |
| Chère Zatanna, je te souhaite de nouveau la bienvenue ! (Merci d'ailleurs pour ton analyse détaillée sur l'Enae, j'y répondrai bientôt!)
Je suis ravie d'apprendre que tu as potentiellement trouvé un forum où jouer ce duo de personnages avec Armand. En revanche, si ta fiche est remarquablement écrite, elle contient plusieurs éléments problématiques en regard de l'époque jouée. Cela concerne notamment les relations de Zatanna avec le grand monde. Si tu l'acceptes, je peux te les signaler (en espérant ne pas te décourager) et on va réfléchir ensemble pour préserver les éléments importants du personnage. D'ailleurs, Armand pourrait peut-être s'inscrire prématurément, puisqu'il est concerné aussi, indirectement, par ces possibles corrections.
On va essayer de trouver tous les arrangements possibles pour que ces deux personnages s'intègrent ici. Je te dis tout de suite que j'ai beaucoup aimé te lire, et que je serais bien peiné si nous ne trouvions pas de solution pour adapter tout ça aux années 1890 ...
Dans l'attente de ta (vos?) réponse(s),
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Dim 11 Sep - 2:20 | |
| Contente que la lecture de ma fiche t'ai plu ! =D
Je demande à Armand de s'inscrire dès que j'en ai l'occasion. Finalement j'ai bien fait de poster ma fiche rapidement, comme ça il aura toutes les infos dont il a besoin pour faire la sienne. ^^
À vrai dire, la position sociale de Zatanna est la chose qui m'a parue la moins évidente... Donc je suis prête à faire toutes les corrections nécessaires pour mieux coller à l'époque. =) |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Dim 11 Sep - 3:54 | |
| On me demande ? (Je tiens cependant à préciser une petite chose : j'ai connaissance des délais alloués pour l'écriture de la fiche et je ne pense clairement pas pouvoir les tenir. En ce beaux mois de septembre *ignore la pluie qui s’abat contre les carreaux de son salon*, j'ai reprit mes cours, mes braves gens, et je fête le retour des travaux de maison (hourra !). Ainsi, je dispose de moins de temps et je suis plutôt long pour l'écriture d'une fiche... et déteste les poster incomplètes. En effet, entre les 36 relectures, les modifications que j'apporte au fur et à mesure, et bien... ça serait comme poster un brouillons, et je n'aime pas ça. Donc voilà. Soit je serais l'exception qui confirme la règles des comptes supprimés s'il n'y a pas d'actualité de fiche, soit on pourra supprimer mon compte jusqu'à ce que je me réinscrive pour la poster entière. Voilààààà ! ) Ceci étant dit, alors gentlemen, un soucis ? |
| | | Pierrot LunaireLa bouche clownesque ensorcèle comme un singulier géranium
Messages : 2896
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Dim 11 Sep - 5:20 | |
| Pas de souci, Armand : comme j'ai dit, c'est moi qui t'ai demandé de t'inscrire afin que l'on discute ensemble des modifications à faire. C'était plus simple de pouvoir tout revoir en une fois. A présent que les choses ont été réglés, je vous laisse en paix et vous souhaite bon courage pour la modification ou pour l'écriture de fiche.
Au plaisir de vous lire !
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Dim 11 Sep - 7:01 | |
| Et j'ai fait les modifications demandées ! \o/ À savoir : - Le changement de nom
- Changement de statut social : Zatanna ne fréquente avec son époux que le salon de la Présidente
- Changement, donc, des points de mondanité
- Zatanna est maintenant venue à Paris lors d'un déplacement du Tsar et le ballet représenté devient La Source au lieu de Casse Noisette (avec changement du nom de l'introduction et de l'héroïne)
Et j'ai envoyé un mp à Daniel Laforge pour clarifier sa relation au milieu criminel. =) J'espère n'avoir rien oublié... |
| | | Pierrot LunaireLa bouche clownesque ensorcèle comme un singulier géranium
Messages : 2896
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Lun 12 Sep - 8:31 | |
| Chose promise, chose due ! Les modifications ont bien été faites alors je t'annonce avec plaisir que tu es validée ! A présent, les choses à faire ne manquent pas : libre à toi de créer ta fiche de personnage, de demander (ou d'ouvrir directement) un RP, de te présenter dans la partie discussion, d'y réclamer un rang personnalisé, et bien d'autres choses encore. Profitez-donc de l'absence de votre mari pour vous amuser un peu, Madame Boischevalier ! En espérant que tu te plairas sur le forum et que tu t'y amuseras. P.S : J'ai oublié de préciser que tu te retrouvais avec 120 points de Mondanité et 200 points d'Infamie.
Dernière édition par Pierrot Lunaire le Lun 12 Sep - 22:55, édité 1 fois |
| | | Pamina
Messages : 207
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Lun 12 Sep - 9:57 | |
| Toutes les félicitations du monde du crime ! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier Mer 14 Sep - 1:00 | |
| Merci à tous les deux. =D
Et Pierrot, ne laisse pas Armand te surprendre en train de dire des choses pareilles. ^___^ |
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| Sujet: Re: Madame Zatanna Boischevalier | |
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| | | | Madame Zatanna Boischevalier | |
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