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| Alphonse ChapeauQue vous portiez chapeau ou bonnet, mine de cocu vous garderez.
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| Sujet: Alphonse Chapeau Mar 23 Avr - 7:44 | |
| Carton d'invitation Registre des habitants de la ville de Paris Nom & Prénoms : Naguère, il était Alphonse Lecointe, mais plus personne n’utilise ce désuet patronyme pour l’interloquer dans les rues. Lecointe, ça fait beaucoup trop 1870 pour un homme dans le vent comme lui. Préférons alors Alphonse Chapeau. Âge & Date de naissance : On dit qu’il est né dès les premières lueurs de janvier, il y a bien trente-deux ans de cela. De Dieu, trente-deux ans ! Que le temps file et que les secondes se meurent rapidement ! À Paris, on court sans cesse, on ne prend même plus le temps de s’arrêter pour le regarder passer, alors il passe trop vite, jamais assez lentement. Origine sociale : Jeune, sa famille était juste assez pauvre pour être méprisée par les bourgeois, juste assez pauvre pour qu’il soit proie aux railleries des patriciens qui déambulaient près des théâtres en le regardant d’un œil suspicieux et fort déplaisant. Maintenant, il est juste assez riche pour se moquer de la perfection que les gens de la haute-société se tuent à atteindre, juste assez riche pour pouvoir laisser tomber quelques francs sur le sol et ne jamais devoir se recroqueviller pour les récupérer. Manières un peu ostentatoires ? Bien sûr. Métier, occupation : Ce n’est pas pour rien qu’il s’est rebaptisé Alphonse Chapeau. Il est en effet à la tête de l’une des plus grandes manufactures de chapeaux de toute la France, et bien plus encore. Il se dit « celui qui devance la mode » et « chapelier avant-gardiste » même si, au final, il n'est jamais instigateur des grandes modes parisiennes et que l'avant-garde qu'il louange n'est jamais très authentique. Famille et entourage : Ses parents se sont dissipés dans l'éther il y a belle-lurette (ceci est un euphémisme : ils ont été emportés par la maladie et la vieillesse). Ses trois autres frères ont été fatalement châtiés par la vie : le premier a été condamné après avoir été aperçu à dérober les objets de valeur des spectateurs dans l'obscurité des théâtres; le deuxième est sombré dans les méandres de l'opium et de l'alcool avant de mourir de ses abus; et le troisième s'est élancé dans la Seine après avoir été publiquement humilié aux suites d'une douce fable d'amour qui s'est terminée sur une note tristement drastique. Et quant à sa famille actuelle, il est marié à une dame soumise à souhait et est le père de deux garçons en bas-âge qui ont un avenir déjà tracé. Ambitions : Que sa compagnie fleurisse un peu plus, que sa richesse perpétue son ascension vers la gloire, que ses projets soient menés à terme avec la plus grande des facilités… Bref, des ambitions très capitalistes. Milieu fréquenté : Il déteste l’arrogance de la noblesse, les idées de la bourgeoisie et l’absurdité des sous-classes. Il ne se plaît nulle part, mais comme il est un hypocrite de première classe, il fréquente, ou du moins tente de fréquenter, les grands salons, les grands congrès, les grands cénacles. Après tout, que ne ferait-il pas pour un peu plus de visibilité ? Mondanité : Dieu qu’il essaie d'être aussi mondain que tous ces grands hommes ! Comment un homme qui dit fabriquer la moitié des chapeaux de Paris peut-il être autre chose que mondain ? En tout cas, c'est ce qu'il laisse transparaître en se présentant dans les théâtres, arborant à chaque fois ses plus beaux chapeaux pour impressionner toute la galerie. Infamie : Un peu infâme, un tout petit peu ! Considérons seulement que certaines personnes s'étant monétairement investies dans la chapellerie ne le savent pas encore… Tout esprit profond s'avance masqué Description physique et psychologique On juge un homme à son chapeau. Le sien est large, mais large dans le sens de largesse, pas de largeur. Et on parle de la largesse des seigneurs féodaux, pas la largesse du mironton qui donne charitablement et généreusement de sa fortune pour extirper une veuve de sa misère. Non, largesse dans le sens où Alphonse donne s’il sait qu’on le regarde donner et s’il est absolument certain qu’on lui rendra ensuite. Il donne, parce que ça paraît bien, parce que les grands hommes donnent pour montrer leur humanité. Il donne donc par ostentation, et rien d’autre. Après tout, soyons sérieux ! Les problèmes qui s’affairent chez les défavorisés, ça le laisse totalement indifférent. Il fut lui-même dans la misère et pense, innocemment peut-être, que tous peuvent s’en sortir aisément. Son chapeau est sublime, aussi, cette fois-ci dans son sens propre. Son chapeau est aussi élégant que lui. Il reflète toute son ampleur, sa grandeur, sa position au sein de la société parisienne et toute la fortune qu’il fait en clignant de l’œil alors que ses ouvriers se meurent de chaud dans sa manufacture. Il n’est pas un contremaître très sympathique, on doit l’avouer, mais tous les autres contremaîtres de Paris sont majoritairement comme lui. Il n’est pas pire que l’administrateur de cette usine de chaussures ou que celui qui est à la tête de cette compagnie de vêtements de nuit. Il n’est qu’un directeur parmi tant d’autres, mais - avouons-le - un directeur élégant à faire jalouser ! Et son chapeau est plus beau que le tien, ça va de soi, même si parfois il est un peu jaloux de celui que tu portes pour aller au théâtre. Néanmoins, ne lui en veux pas, car il a peur. Il a peur de la compétition, peur de la faillite, peur des pertes et des décadences économiques. Il a peur de ne plus pouvoir danser parmi la haute société et peur de se trouver de nouveau parmi les plus pauvres. Il a peur de toi parce qu'il a peur de perdre son influence. Je t'en prie, ne lui en veux pas. Il peut sembler confiant, mais il ne l’est pas toujours. Il cache ses malaises derrière sa façade de roc et une paire d'yeux ébène vitreux comme il sait si bien le faire. Mais son chapeau est techniquement irréprochable, car sa manufacture est gérée à la perfection. Il est un homme foncièrement minutieux et soucieux du détail, le genre d'individu qui se sent mourir devant une barbe qui est mal taillée ou devant un nœud papillon qui n'est pas précisément droit. Il a une volonté d’idéalisme dans tout ce qu’il entreprend, dans tout ce qu’il voit, dans tout ce qu’il peut changer. Car Alphonse est un quidam très peu éduqué, mais indubitablement intelligent, tout doit effleurer la perfection qu’il se tue à atteindre. Également, son chapeau est d’avant-garde, tout comme il est visionnaire. Enfin, « avant-garde » est un terme qu'il adore utiliser, mais rappelons que ses chapeaux le sont rarement. C'est une expression qu'il utilise seulement pour enivrer le bas-peuple et faire frémir les petits bourgeois. C'est une façon d'attirer les gens, rien de plus (et laissez-moi vous dire que ce fut très fructueux jusqu'à présent !). Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose Texte d'introduction au personnage ou test RP Y a de ces journées où on ne sait plus trop où donner de la tête, où les mauvaises affaires se succèdent sans qu'on puisse en faire quoi que ce soit. Y a de ces journées où on appréhende chaque minute puisqu'on sait pertinemment qu'elle sera aussi pénible que la précédente. Y a de ces journées qui s'éternisent, qui ne cessent jamais, qui donnent l'impression qu'elles ne connaîtront jamais de fin et qu'on ne pourra jamais retrouver le confort de son bercail. Ouais, y a de ces journées qui laissent un arrière-goût très amer. Et Dieu merci ! Cette journée venait de se terminer. La tête basse, chapeau bien ancré sur la tête, Alphonse émergea de la manufacture en hélant le cocher qui passait par là, le même qui déambulait dans les environs presque chaque soir. Il ne le salua même pas - comme la civilité le voulait - et se contenta d'ouvrir la portière pour s'asseoir lourdement. Le postillon, perplexe, en fit abstraction et les chevaux se mirent à avancer sur les grands voies parisiennes. À l'intérieur, Alphonse ne rêvait que de sa demeure où l'attendaient patiemment sa femme et ses deux fils. Tout ce qu'il espérait d'ici là, c'était que les cieux restent bien en place et qu'ils ne lui tombent pas sur la tête. « Monsieur Chapeau, c'est justement vous que je cherchais. » Que de faux espoirs ! À quelques pas du véhicule se tenait un bon monsieur, moustachu comme deux et qui riait grassement. Alphonse aurait bien pu ne jamais détourner la tête, mais le cocher, lui, savait bien qu'on s'adressait à son passager - à son meilleur comme il aimait si bien le dire. Alors, la voiture décéléra tranquillement avant de s'immobiliser. Le moustachu, sans attendre, ouvrit la portière et s'assit aux côtés d'Alphonse; ainsi le véhicule recommença à s'engouffrer dans la jungle urbaine. Chapeau releva finalement la tête pour constater à qui il avait affaire : un bonhomme ventru à l'air franchement niais, au sourire niais et aux vêtements niaisement agencés. Retenant quelques sobriquets mal placés, Alphonse n'eut néanmoins même pas le temps de le saluer en bonne et due forme que son interlocuteur s'était déjà élancé : « Enchanté, monsieur Chapeau ! Comment allez-vous ? » Alphonse ne répondit que par une moue exaspérée, air que le bedonnant ne sembla même pas discerner. Il renchérit d'ailleurs sans hésiter : « Je vais bien aussi, mon bon monsieur ! Je suis Théophile Quettier, propriétaire d'une chapellerie à quelques pas du Luxembourg, et j'ai une proposition à vous faire, une offre que vous ne pourrez refuser et qui remplira vos coffres en moins d'deux, monsieur ! » « Oh ! s'exclama Alphonse en retrouvant un peu de joie de vivre. Parlez, dites ! Parlez-moi un peu de votre entreprise ! » « Justement, je dois tout d'abord déclarer, avec certains regrets, que ma chapellerie connaît des problèmes financiers assez significatifs par les temps qui courent, monsieur Chapeau... Si vous acceptiez de m'a-- » « Cela ne m'intéresse pas, sortez. » Le moustachu se tut un moment, stupéfait par la rudesse des propos d'Alphonse. Cependant, cette quiétude ne dura rien qu'un temps, car il se remit à parler à une vitesse vertigineuse en louangeant ses idées et en démontrant à quel point il était plein de bonne volonté et d'intentions, à quel point sa chapellerie prospérerait à vue d’œil avec un peu d'assistance et, peut-être même, une fusion économique. Bref, que de mauvaises idées qui laissèrent Chapeau de marbre. Ce dernier, n'écoutant même plus l'envolée lyrique de son interlocuteur, se contenta d'observer l'horizon en voyant au loin apparaître sa demeure. Alors que le ventru perpétuait ses longs discours, Alphonse sortit calmement, paya le cocher et s'en alla. Un peu plus loin, on l'entendit s'écrier : « Oh, et monsieur Quettier, j'oubliais presque ! commença-t-il en levant son chapeau. Les haut-de-forme en cuir de castor sont passés de mode depuis un demi-siècle ! » Il rit silencieusement et pénétra dans ses appartements pour ne plus jamais en ressortir, ou du moins jusqu'à demain. Rideau. Theatrum mundi... Pour terminer... Pseudonyme : Plusieurs ! Théophraste, Ewert, etc. Âge : Dix-huit ans et des poussières. D'où nous venez-vous ? D'un temps passé. Quelque chose à nous dire ? Encore désolé !
Dernière édition par Alphonse Chapeau le Ven 26 Avr - 7:13, édité 3 fois |
| | | Pierrot LunaireLa bouche clownesque ensorcèle comme un singulier géranium
Messages : 2896
| Sujet: Re: Alphonse Chapeau Mer 24 Avr - 23:47 | |
| Bonjour Alphonse et re-bienvenue parmi nous ! Ta fiche est-elle bien terminée ? :) Dans tous les cas, sache que je ne t'ai (toujours) pas oublié : j'ai juste un gros coup de fatgue et j'ai besoin d'un peu de temps pour pouvoir me concentrer sur autre chose. Mais promis, demain, ce sera fait ! Toutes mes excuses pour l'attente ! |
| | | Alphonse ChapeauQue vous portiez chapeau ou bonnet, mine de cocu vous garderez.
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| Sujet: Re: Alphonse Chapeau Jeu 25 Avr - 1:13 | |
| Ma fiche est en effet terminée. (Mais prends tout ton temps; j'suis pas pressé.) |
| | | Pierrot LunaireLa bouche clownesque ensorcèle comme un singulier géranium
Messages : 2896
| Sujet: Re: Alphonse Chapeau Jeu 25 Avr - 21:05 | |
| Et me revoilà comme promis ! La fiche est pas mal du tout, par ailleurs, mais après concertation avec le staff, nous souhaiterions éclaircir quelques points qui nous semblent problématiques. Ce ne sont pas toujours des choses à corriger, d'ailleurs, ce sont plutôt des questions que nous préférons clarifier à cette étape plutôt que de risquer d'avoir à le faire en jeu. Tout d'abord, commençons par le commencement : les chapeaux. Les chapeaux d'Alphonse sont de très bonne qualité, d'accord. Tu as d'ailleurs bien relevé la tension qui existe, à l'époque, entre les chapeliers qui fonctionnent encore sur le modèle de l'artisanat et ceux qui sont passés à l'industrialisation. Mais justement : les gens des classes aisés, pour un objet aussi reconnaissable qu'un chapeau, passeront par des chapeliers renommés qui fonctionnent encore selon le principe du sur-mesure, en dédaignant les produits manufacturés. Cela n'empêchera pas forcément Alphonse de faire fortune, mais même si ses chapeaux sont soignés, il est fort probable que les gens de la plus haute société les considèreront avec mépris. Justement, je pense que tu l'as imaginé comme ça, mais juste pour être sûr : en tant que nouveau riche aux manières tapageuses, Alphonse méprise la haute... mais est sans doute aussi méprisé par elle. Ca ne l'empêche pas d'avoir plein d'argent et d'en faire ce qu'il veut par ailleurs. En ce qui concerne son caractère avant-gardiste et l'inspiration des chapeaux, plusieurs points. Tout d'abord, il semblerait qu'en matière de mode, les anglais s'inspiraient pas mal des français... Donc s'inspirer des anglais pour créer de nouvelles modes n'est pas très cohérent. En outre, je ne pense pas qu'il soit possible d'inventer des chapeaux aussi curieux... et avoir du succès, et ce pour plusieurs raisons. Je pense notamment à ce passage : - Citation :
- Également, son chapeau est d’avant-garde, tout comme il est visionnaire. Parfois part-il des semaines dans un périple au nord du continent, en s'inspirant des contrées d'ailleurs pour réorienter sa production.
A cette époque, le costume masculin est très codifié et les variations d'un chapeau haut de forme, par exemple, se feront sur la hauteur, la largeur du bord, la matière, le tissu de la doublure... et c'est à peu près tout. Le personnage ne peut pas vraiment partir à l'aventure et s'inspirer de couvre-chefs exotiques, à moins de créer des chapeaux pour une revue de cabaret ou un spectacle quelconque, à la limite. En ce sens, peut-on être avant-gardiste en chapeaux masculins ? De plus, et c'est le principal problème que je voudrais souligner, les créations hors norme s’accommodent mal avec une production de masse (surtout aux tous débuts de la production de masse). Alphonse ne peut donc pas être à la fois un chapelier avant-gardiste... et un chapelier à la tête d'une grande usine, il faut choisir. Si on se replace dans l'époque, être un grand industriel de chapeaux est déjà assez novateur, pas besoin d'en rajouter en imaginant des couvre-chefs bizarres, à une époque où tout le monde porte le même chapeau noir. (D'ailleurs, d'où tirerait-il cette ouverture, s'il est issu d'un milieu pauvre et n'a reçu que le strict minimum question éducation ? Les gens issus de milieux) Par ailleurs, il faudrait trouver d'autres surnoms au personnage : - Citation :
- Il se dit « créateur de tendance », « le Voltaire des haut-de-forme » et « chapelier avant-gardiste », même si, au final, il ne fait qu’emprunter ses concepts aux firmes britanniques.
Le premier est une expression très actuelle, le second ne semble pas avoir grand sens (pour qu'une comparaison fonctionne, il faut qu'elle ait un point d'achoppement. Dans le cas de Voltaire, on pense : ironie, âge classique, contes philosophiques, sens de la répartie... rien qui puisse faire sens au sujet d'un chapeau) et pour le troisième, je te renvoie à ce que j'ai expliqué ci-dessus. Enfin, dernière chose, cette phrase m'a interpelé : - Citation :
- Lecointe, ce n’est bon que pour les aristocrates coincés qui se rendent dans les sociétés huppées pour palabrer durant des siècles sur des sujets qui n’en valent même pas la peine, mais qui sont incapables de mener quelconque affaire vers le succès.
Je pense que c'est plus une maladresse de formulation qu'une réelle erreur, dans les faits : à lire ta phrase, on a l'impression que Lecointe est justement un nom d'"aristocrate coincé qui..." alors que c'est un nom commun (ou au mieux bourgeois). Je pense qu'il faudrait donc reformuler. Voilà, c'est à peu près tout ce que j'ai à relever. Ça peut sembler beaucoup à première vue, mais ça n'empêche pas que le personnage a du charme, des faiblesses intéressantes et beaucoup de potentiel en jeu. Pas de découragement, donc, ces quelques remaniements/corrections ne signifient pas que le personne n'est pas intéressant ou n'a pas sa place ici. Je suis à ta disposition si tu as des questions par rapport à ce que j'ai relevé, tu peux les poser à la suite sans problème. :) |
| | | Alphonse ChapeauQue vous portiez chapeau ou bonnet, mine de cocu vous garderez.
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| Sujet: Re: Alphonse Chapeau Ven 26 Avr - 0:23 | |
| Bien l'bonjour, Pierrot.
Alors ! Merci d'avoir pris le temps de lire ma fiche et d'apporter ces rectifications, c'est apprécié. Ensuite, je tiens simplement à préciser qu'Alphonse se dit avant-gardiste, mais il ne l'est pas tellement. Peut-être que je n'ai pas été assez clair dans la fiche - et en me relisant, en effet -, mais les surnoms qu'il s'attribue et les caractéristiques de ses chapeaux qu'il vante sont en partie, voire majoritairement, exagérés pour enchanter les modestes gens. En somme, c'est une sorte de fausse publicité qui passe bien, car ses chapeaux, même s'ils ne sont pas très avant-gardistes, sont d'une bonne qualité (sans effleurer la qualité de ceux offerts par les artisans). Pour clarifier le tout et suite à tes recommandations, j'ai supprimé la partie qui parlait des firmes britanniques et j'ai retiré le second surnom en expliquant le troisième... J'espère que ça conviendra.
Ensuite ! Alphonse méprise la haute-société, mais il est méprisé par elle également, oui (je ne l'ai pas indiqué, car cela semblait évident). Il se la joue un peu arrogant, très impassible face aux commentaires des autres, mais il sait très bien qu'on le méprise de loin ^^.
C'tout ? Merci merci.
Dernière édition par Alphonse Chapeau le Ven 26 Avr - 7:15, édité 2 fois |
| | | Pierrot LunaireLa bouche clownesque ensorcèle comme un singulier géranium
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| Sujet: Re: Alphonse Chapeau Ven 26 Avr - 2:07 | |
| Eh bien, c'est parfait... ou presque ! Comme je l'ai dit (un peu trop vite peut-être), « créateur de tendance » est une expression anachronique : on la dirait sortie d'un magazine de mode d'aujourd'hui. Il faut donc trouver une façon de dire la même chose qui soit conforme à l'époque. Peut-être « celui qui devance la mode » ou quelque chose comme ça : je ne suis moi-même pas très doué en slogans/surnoms qui claquent, alors je ne peux pas vraiment te donner de conseils à ce sujet. x) Pour le reste, tout est bon : il peut être difficile, à partir de la fiche seulement, de déterminer si ce qui est écrit relève de la réalité ou du discours tenu par le personnage sur lui-même. Tu y es presque, courage ! |
| | | Alphonse ChapeauQue vous portiez chapeau ou bonnet, mine de cocu vous garderez.
Messages : 16
| Sujet: Re: Alphonse Chapeau Ven 26 Avr - 7:18 | |
| Oh, au temps pour moi, je n'ai pas bien interprété ton expression. Par « très actuelle », je pensais que tu voulais dire « très actuelle à l'époque du forum », et donc que le surnom était correctement réaliste. Enfin bref, c'est rectifié ^^. Désolé pour les quelques incohérences, et merci encore pour ton aide ! |
| | | Pierrot LunaireLa bouche clownesque ensorcèle comme un singulier géranium
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| Sujet: Re: Alphonse Chapeau Ven 26 Avr - 7:21 | |
| Il n'y a pas de souci, il m'arrive de ne pas être clair dans mes explications, on est tous faillibles. Je te mets donc dès lors ta couleur, et tu partiras avec 170 points de Mondanité et 0 d'Infamie, cela te convient. Rebienvenue parmi nous, M. Chapeau ! |
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| Sujet: Re: Alphonse Chapeau | |
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