Quand le temps passe, les gens changent ... Qu'est devenu votre personnage, depuis le mois de juin 1896, où l'affaire de l'Opéra a été résolue ? Il se peut qu'il n'ait pas vécu grand chose, et même que les affaires de Paris lui soient passées par dessus : peut-être est-il tombé malade et a-t-il disparu en maison de santé, quelques temps ; peut-être s'est-il exilé en province pour veiller un parent ou recevoir un héritage ... ? Mais il se peut aussi que sa vie et sa situation aient radicalement changé. Tout va si vite en ce monde ...

• Vous êtes invités à réfléchir avec nous ou à indiquer l'évolution ou la non-évolution de votre personnage au cours des huits mois de l'ellispe. Nous retracerons à la suite les principales évolutions des personnages et des PNJs, afin de que tout le monde s'y retrouve.
  
  
• Si votre personnage connaît un changement de situation important (nouveau métier, mariage, entrée dans un salon, décès, etc.), nous vous demanderons également de nous en informer ici. Le présent sujet servira de suivi général aux parcours des personnages.

• La Forestière se cherche un nouveau protégé et songe à organiser une séance de spiritisme ...
  
• Lise Champmézières a beaucoup de succès auprès des élégantes, mais doit faire face à un prétendant un peu encombrant ...
  
• Eugénie Landreau commence à être reconnue dans son quartier et participe aux soupes populaires.
  
• Floris Dallo est tombé amoureux.
  
• Le Zozio a arrêté ses habitudes de voleur. Il est un honnête ramoneur et il vit dans un petit logement des quartiers populaires. Il a repris son vrai nom : Antoine Viret.
  
• Catharina Ainsworth a divorcé de son mari violent, elle redevient Catharina von Reutersvärd. Elle est logée chez Madame Pentois, garante de sa moralité, et commence à sortir dans le monde.
  
• Margot Chalopin a monté de grade à l'Opéra : elle est devenue coryphée.
  
• Jules Spéret connaît quelques difficultés financières.
  
• La jambe de Jean de Fréneuse est guérie, même s'il boite encore légèrement. Il remonte à cheval.
  
• Zhûn a continué ses affaires et s'est lancé dans le spiritisme.
  
• Eustache de Nersac, Charles-Armand de Lonsay, Eugénie Landreau : RAS

Eh bien, même si tout le monde le sait, je viens poster ce qui est arrivé à Catharina (Et aussi à Clarisse du coup) durant l'ellipse ! Je ne sais pas si vous voulez quelque chose de développé ou pas... ? Si c'est trop long vous aurez qu'à résumé ou couper hein, je comprendrai.

Catharina a continué à violemment se faire battre par son mari jusqu'en octobre. Jusque là, elle ne semblait pas s'en plaindre plus qu'il le fallait, mais lorsqu'il a commencé à frapper ses enfants, elle a débuté des procédures pour divorcer tout en gardant près d'elle ses bébés. Et, maintenant, c'EST UNE FEMME -presque- LIBRE ! Elle loge chez les Pentois depuis, dépourvue d'à peu près tout, mis à part quelques bijoux et robes qu'elle a sans doute vendu pour se faire un peu d'argent. Là, en Février, c'est l'hiver, il y a de la neige, Catharina est de bonne humeur, Catharina est toute pleine de vie, Catharina sort (Je vous le jure !) et.... C'est tout !

Et Clarisse, quant à elle, n'a pas eu une vie aussi tourmentée. Elle a quitté son amant du moment et est en quête pour s'en trouver un second. Sans doute qu'une petite ride ou deux est apparu, et que la pré-ménopause pointe le bout de son nez mais... Disons que ça ne change pas grand chose !

Bon, je vais poster sous mon compte admin pour mes trois personnages.


Notre cher vicomte ne connaîtra que bien peu de changements dans sa morne vie (xD)... Il partira en villégiature quelques mois, entre juillet et mi-octobre, avant de rentrer à Paris. Pour ses futures fiançailles avec Emeline, si elles sont maintenues, il faudra juste voir quand ils se rencontrent pour la première fois... En tout cas, je suis presque sûre qu'il ne tombera pas amoureux par coup de foudre, je vois plutôt quelque chose de très progressif et sans doute peu conscient. Cela mis à part, je suppose que son célibat et que son indifférence à l'égard de la gent féminine fait tout de même un peu de bruit...


La carrière de Jules reste la carrière de Jules, c'est-à-dire très intense et passionnée. Un RP avec Clarisse a lieu au début octobre 1896. Par contre, il commence à ressentir une petite gêne financière qui le pousse à s'investir dans le plan de la chasse au trésor. Du côté de la vie privée, c'est à voir avec Séraphine. =)


Le monsieur est toujoiurs plongé dans sa passion pour le spiritisme, il s'auto-persuade quelque peu de la réalité des phénomènes paranormaux... En aurait-il parlé davantage à la Forestière ? En tout cas, l'idée d'une soirée spiritisme est bien présente... À côté, il commence à se languir un peu de la vie au grand air et en pleine mer et rédige d'autres souvenirs de voyage. Je n'ai pas encore beaucoup d'idées pour ce perso, mais je suis ouverte aux proposition.


Bref, beaucoup d'action de mon côté, comme vous pouvez le constater ! xD

Rien de particulier, en fait. Jean a plus ou moins résolu de se marier, mais n'a pas encore trouvé la fiancée idéale. Son hésitation lui a tenu lieu de sursis. Ses parents deviennent plus pressants que jamais.
La guérison a été longue, mais sa jambe va mieux. Il ne ressent plus la douleur que les jours de grande humidité, ce qui le rend grognon. Il remonte à cheval (même si la montée est un peu difficile ...)

Margot Chalopin est toujours danseuse à l'Opéra. Elle est devenue coryphée.

Je n'ai pas encore trop d'idées et pour Eugénie j'attends voir si elle peut avoir un époux pour avoir une vraie évolution.

Sinon pour Zhûn, il est toujours maître de l'Oeil d'Eboli. En un an, les choses n'ont guère changé - il continue à vendre de faux rêves aux Européens tout en conservant ses liens avec les malfrats de Paris. Il s'est lancé dans de faux tours de spiritisme, espérant toucher un public plus riche et donc plus lucratif. Tout cela risque de lui coûter cher un jour...

Suite à diverses rencontres et évènements, le Zozio quitta Paris pendant deux semaines pour retourner dans sa région d'origine et voir sa famille, qu'il n'avait pas vu depuis ses quatorze ans.

Après quoi, il revint à Paris et décida d'abandonner ses habitudes de voleur. Il continue toutefois de se déguiser et de parcourir les rues en chantant et à faire quelques visites des Catacombes, mais seulement le week-end, car à présent, notre Zozio est devenu un honnête ramoneur ! Il loue même un petit appartement dans un des bas-quartiers, loyer bas oblige.

Aussi, depuis qu'il est ramoneur, il a repris son vrai visage... et son vrai nom.

Antoine Baptiste Viret, à votre service, messieurs-dames !

Floris laisse de côté la recherche de sa vraie mère lorsqu'il fait la rencontre d'une demoiselle au parc et s'éprend d'elle. Il est gêné de lui parler, n'ayant jamais vraiment été très habile avec les femmes. Plusieurs lettres adressée à cette demoiselle sont dans l'appartement du médecin. Il n'ose pas les envoyer. Il s'est fait un nom dans Paris comme honnête pour impressionner la dame et avoir une chance avec elle.

La Forestière, toujours fidèle à elle-même, continue ses soirées mondaines et sa quête d'oeuvres d'art intéressantes et excentriques.

Cependant, l'éxécution de Lionel l'a énormément marqué même si elle ne l'avouera jamais à quiconque. Elle recherche ainsi de manière assez ouverte un nouveau protégé, un acteur qui de toute évidence ressemble un peu à Lionel. Aussi, après quelques discussions fort passionnées avec Eustache de Nersac, ils vinrent à l'idée qu'il fallait monter une séance de spiritisme. L'exécution récente de Lionel semblait être un très bon prétexte. Elle commence ainsi doucement à en parler autour d'elle pour déterminer les possibles intéressés.

L'année 1896 a été bonne pour le commerce de Lise. On a beaucoup parlé des costumes de Robert-le-Diable (la robe rouge d'Isabelle, surtout !), de la merveilleuse robe "Plumage de paon" d'Yvonne Galant... La Maison de Couture est grouillante d'activité en ce début 1897, et à ce qu'il paraît, on y embauche. Jeunes filles de bonne moralité, débutantes acceptées.

Lise est donc un peu plus connue dans le monde, et plus survoltée que jamais.

Une ombre plane néanmoins : la réapparition de Victor Champmézières, notaire reconnu et cousin d'Edmond. Il fait à Lise une cour pressante et de moins en moins discrète. Il lui offrirait même des cadeaux très coûteux. Selon lui, une union entre eux "serait à [leurs] deux solitudes un remède d'autant plus doux qu'il serait scellé dans le souvenir de [leur] cher Edmond. Pensez aussi à ma situation, Lise, vous ne seriez plus obligée de travailler !". Le problème, c'est que Lise n'a aucune envie d'épouser cet homme ni d'arrêter son activité.

C'est noté pour tout le monde, merci ! (Et c'est une façon de remonter le sujet, car il manque encore beaucoup de participants )

Suite à son implication dans les révélations sur l’affaire de l’Opéra, le nom de Maximilien a fait le tour de Paris et des bureaux de presse durant l’été. Après des dizaines de missives échangées avec divers patrons de journaux et quelques rencontres dans des cafés, Maximilien a décidé d’intégrer l’équipe de La Presse, journal en plein essor créé il y a seulement quelques années mais fait déjà beaucoup parlé de lui par ses articles novateurs. Bien que son nouveau salaire lui donne les moyens de s’installer seul, Maximilien continue de vivre dans la demeure familiale, auprès de ses parents et de leur domestique Marie-Jeanne. Cela lui permet d’avoir des costumes toujours très présentable. Sa mère, bien évidemment, attend avec impatience que son fils se marie.

C'est parfait, Maximilien, sauf que La Presse a été créée en 1836 par Emile de Girardin. Je devais t'envoyer un petit résumé de son histoire, mais toutes mes excuses, j'ai eu une semaine très chargée. Je devrais m'en occuper aujourd'hui ! Edit : Voilà !

Jane a commencé à faire son petit nid dans le milieu des Arts. Le Théâtre d'Art l'a réclamé pour une pièce qui sera prochainement représentée.
Jane a toujours la mort d'Emile en tête, même si l'affaire est en cours de résolution, son cousin lui manque énormément.
Un homme est venu combler quelque peu sa solitude: Alexandre Feivelman, banquier de son état. Amoureux des Arts, il a pris Jane sous son aile. Cette dernière l'apprécie beaucoup, et prend plaisir à parler avec lui. Ils sont très proches, en apparence, et les relations et le soutien d'Alexandre propulsent la carrière de la jeune Anglaise.

Louison, qui a eu vingt deux ans au début de l'année 1897, est maintenant bien ancrée dans sa nouvelle vie de pensionnaire de la Reine Blanche. Les clients de la maison close apprécient cette jeune femme aguichante et n'imaginent certainement pas qu'elle ait pu être deux ans plus tôt une jeune fille d'une famille bourgeoise provinciale. S'il lui arrive de rêver encore à une vie plus brillante elle n'a plus honte de ces rendez-vous avec des hommes. Et elle peut aussi fréquenter des gens qui prennent quelques libertés avec la loi, comme cette fille, Lilith, qui a tant de dextérité à soutirer les portefeuilles de riches passants. A la fin de l'année 1896 elle a dû faire appel aux services d'une avorteuse. Et voilà que durant cet hiver 1897 va peut-être se présenter une occasion de sortir de la maison close, une proposition du patron des Folies Bergères que va lui transmettre Jean de Freneuse, cet homme qu'elle a rencontré par hasard huit mois plus tôt. Ce sera peut-être l'occasion de retrouver une certaine forme de liberté, d'exercer son métier dans d'autres conditions et, qui sait, de devenir une courtisane entretenue ...

Il semble qu'Elke s'habitue au train de Paris : on le voit plus régulièrement aux salons et il a bien policé son accent. Il ne fait plus que quelques fautes de genre mais on distingue à présent avec plus de peine qu'il vient du fin fond de la Bavière.

Il semble également avoir intégré les mœurs et l'habillage : il est mieux intégré.


Mais tout masque ayant un envers, certains curieux racontent qu'on l'aurait aperçu au Chat Noir et peut-être même dans d'autres endroits moins convenables. Pourtant, personne n'a pu encore prouvé ces dires...

Je sais, j'avais changé pour Catharine, mais je ne peux définitivement pas vivre dans on a, alors je reprends Catharina ! Comme dis, voila, je poste ici ô/

Pendant qu'elle était logée chez Madame Pentois et recommençait doucement à sortir à nouveau dans le monde, Catharina a reçu la visite de Jean de Fréneuse et a accepté sa demande en mariage peu conventionnelle. Elle est depuis peu mariée et devient Catharina de Fréneuse, princesse de j'sais pas où et est à nouveau une FEMME MARIÉE RESPECTABLE ! tintinTIIIIIN (Ou presque, elle passe toujours trop de temps avec ses enfants) !

Bref, c'est tout .__.

Eh bien... euh... félicitations ? ^^
Tu ne nous en dis pas plus sur le mariage ? Ça s'est fait en grande pompe, dans l'intimité ? Yavait qui, ils ont mangé quoi, ils étaient habillés comment... Je veux des potins ! Ya pas de mariage sans potins !

Qui a fini par vomir sur la cousine germaine ! Des noms !

Eh bien il s'agissait -évidemment- d'un mariage totalement awesome avec plein de monde, dont sûrement le trois quart étaient inconnus des mariés mais comme ils sont des amis de la famille on les invite quand même (ahah). Lise était là, j'te demande pas ton avis, elle est obligée de venir. Heum, du côté de Catharina, il devait pas voir beaucoup de personnes, jor son frère, sa tante et son grand-père (Suédois perdus dans le frenchy Paris). Les femmes étaient en robe et les hommes en pantalons (Don't you sayy), Catharina portait une robe de mariée grise, avec une traine et plein de dentelle parce que la dentelle c'est cool. Je pourrais te dire quelles étaient les fleurs des arrangements floraux parce que j'ai pas harcelé Pierrot avec ça, mais elles devaient être super cool parce que les fleurs c'est la vie.

Pour la nourriture, j'ignore ce qu'ils ont mangé, mais ça devait être une truc trop classe dignes de Monsieur Charloue et Rosemonde, comme du jambon, avec des salades de saumon et des trucs de homards et aussi des sandwichs (T'imagines, tu croques dans le sandwich et le contenu se barre ?). Y'avait plein de trucs à boire, mais pleiiiiiin ! Et les dames étaient assises à la table alors que les hommes faisaient le service, parce que tu vois, les hommes ils sont galants.

Je ne sais pas qui a vomi sur la cousine germaine D8 ! Pierrot a dit que Jean s'est contrôlé sur l'alcool, cette journée là (Avec ses parents dans le coin, on le comprend), mais on trouvera qui ! Et pis, quand Pierrot se repointera, on élaborera des potins pour notre chère couturière ! 8D