Absalom Lion .

Registre des habitants
de la Ville de Paris

Quelques informations factuelles :

• Nom & Prénoms :

Lion, Absalom . Il n'y a qu'Esther qui a le droit de l’appeler son très cher Abs et lui de lui répondre petite étoile . A noter qu'en société , les deux utilisent comme la moitié de leur famille leur second prénom . Absalom utilise donc Ulysse et Esther Anne On utilise leur prénom hébraïque que dans le cadre de la famille et de la vie privée , le cachant du mieux qu'on peut .

• Âge & Date de naissance :

Il vient tout juste d'avoir 29 ans , car né un 6 février 1967, un matin froid

• Origine sociale :

Héritier d'un immense empire marchand, par un grand magasin de nouveautés (vous voyez, celui qui fait l'angle sur les grands boulevards où on trouve tout ce qui est à la mode ? Et bien, il lui appartient) et par des actions et des rentes qui lui amènent un revenu plus que raisonnables (en fait, les magasins et leur gérance, c'est pour s'occuper) et membre de la haute société d'origine juive bien que vraiment distillée.. La famille Lion est cependant athée depuis un certain temps, même convertie au catholicisme pour faciliter les mariages et relations d'affaires (On a même envoyé un fils de la génération précédente au séminaire.) et en apparence bien intégrée dans la société française, elle n'en éprouve pas moins un certain ressentiment envers la France en général en ces temps où les gens bien pensant ont une opinion bien arrêtée sur une famille comme la sienne. Disons qu'ils s'en souviennent quand ils n'ont plus besoin de leur argent.

• Métier, occupation :

Gérer les affaires familiales quand on est le seul héritier mâle prend un certain temps. Se maintenir dans la société en allant au théâtre ou dans les salons et les soirées en prend un autre quart de son temps. Vivre sa vie d'homme, parce qu'il le faut bien (ahem) aussi. S'occuper de sa petite soeur, Esther et veiller à son éducation termine d'occuper son temps.

• Ambitions de votre personnage :

Il n'en a pas vraiment. Élargir son savoir encyclopédique qu'il apprécie tant peut être. Développer les activités de la famille Sa tante, Iris, qui occupe elle aussi la maison, maintenant que ce jeune homme est fiancé, aimerait bien voir arriver la descendance, parce que ça commence à tarder, mais il n'a vraiment pas envie, disons-le, d'aller trop vite.

• Milieu fréquenté :

Son père, en tant que grand bourgeois, faisait partie de la société de Lambresac. Le fils, fatigué par leurs discussions d'un, je cite, "ennui, d'un archaïsme et d'une imbécillité affligeante" a préféré redescendre au cénacle de La Forestière. Cela a fait un peu pâtir sa réputation, mais sans plus. De plus, il est fort probable que sa future épouse s'y sente beaucoup mieux que dans un cercle plus strict.

• Points de Mondanité :

Quelque part entre 350 .

• Points d'Infamie :

95 . Les gens qui font des affaires sont rarement des gens honnêtes

Tout esprit profond s'avance masqué

Description physique & psychologique :

Visage lunaire et pale, comme un Pierrot, pourtant, il n'est pas rêveur, Absalom. Il a les pieds bien accrochés à cette bonne vieille terre. Se laisser aller au rêve, c'est avoir une seconde d'inattention. Et en une seconde, tant de choses peuvent se passer, tant de choses qui peuvent vous échapper, vous filer entre les doigts. Une bonne affaire, un avantage dans une joute verbale, une bêtise d'Esther, des fiançailles (Oui, parce que, ne vous faites d'illusions, il a accepté sans entendre la question vraiment, pensant qu'on lui parlait de tissus de coton d'un tissage révolutionnaire qui pourrait se vendre moins cher tout en ayant une qualité excellente), une remarque de sa tante, une discussion intéressante (elles sont si rares. ) Ses rares moments d'inattention, Absalom les tient à sa mélancolie. Elle traverse un instant ses yeux noirs en amande, brillant, en faisant taire cet éclat et s'y installe lentement pour l'envahir.Les pensées l'assaillissent, englobant sa réflexion, son intelligence, sa mémoire, entourant de tentacules collantes et pâteuses, choisissant quelle blessure ouvrir, quelle parole tonnante sortir. La plupart viennent du père Salomon, qui, dans l'idée d'insensibiliser son fils aux critiques du monde extérieur, l'a habitué par grands pas, grand coup. Comme si on vous apprenait à nager en vous lançant d'une barque en plein milieu d'un lac de manière régulière et ce depuis votre plus tendre enfance. C'est une méthode d'éducation comme les autres. À défaut de se montrer toujours et encore impassible et de l'être surtout, il faut apprendre à pleurer en soi-même en gardant le même masque. Cette leçon, apprise et répétée, Absalom l'applique de manière stricte. Jamais une larme, jamais un rictus de colère. De même, jamais un sourire franc, presque jamais un rire sincère. Pas de sentiments apparents. Tout se passe à l'intérieur. Mais depuis bientôt trente ans qu'elle est en action, cette image, cette barrière, ce bouclier se craquèle petit à petit. Et personne n'est là pour le réparer.

Pour ça, Absalom s'accorde à dire que les autres ne servent à rien. S'il n'a pas de rôle rémunéré, l'être humain ne fait rien. Votre majordome sera toujours plus serviable, plus utile et plus prompte que votre « ami ». Vos partenaires commerciaux seront toujours plus aimables si vous acceptez de leur acheter leurs marchandises. Sa théorie s'affine d'année en année et personne n'a la possibilité de le contredire. Tellement peu confiance en l'être humain, en ces gens riches de la haute, si peu fiable. Confiance dure, tellement dure à obtenir. Obtenue par une enfant. Obtenue par certains du personnel de la maison. Sera peut-être obtenu par la fiancée, il vaudrait mieux pour elle, sinon, cela pourrait devenir compliqué et invivable. Ce n'est cependant pas acquis d'avance. Puis il y a ceux qui ne l'auront jamais. La tante Iris, qui vit à ses crochets et qui est désagréable, on a connu mieux comme veuve. Les autres ex fiancées et leurs familles, parce qu'il y en a eu un certain nombre quand même et que pour une raison x ou y, les fiançailles ont été rompues. Les partenaires d'affaires, comment peut-on faire confiance à quelqu'un dont la relation est basée uniquement sur l'argent et que l'on côtoie quelques heures pour un diner tous les deux mois. Et tant d'autre.

Cheveux brun terre et barbichette pour cacher un menton déplaisant. Être agréable au regard, ça vend mieux, de même qu'être bien habillé. Costume gris, noir ou brun clair selon les occasions. Quelques noeuds tristes pour agrémenter. Montre à gousset pour ne jamais laisser échapper l'heure, si précieuse. Tout cela sorti des magasins qu'il prend un malin plaisir à administrer. Comment réagirait cette bonne bourgeoisie qui se pavane dans ses toilettes et costumes de tailleurs et modiste de renom qui soit travaillé pour lui soit se fournisse en tissus chez lui, Comment réagirait elle en sachant que c'est ce jeune homme insignifiant, de mauvaises croyances malgré les apparences que lui et sa famille donne pour paraitre respectable ? Elle ne réagirait pas. Trop lâche. Beaucoup trop lâche. Société de lâche.

La pensée de cet homme est simple à ébaucher, que faudrait-il ajouter de plus sur lui ? De bons côtés, peut-être ? Curieux de tout, des nouveautés, de sciences, de nouveaux produits, au point de s'être mis à aimer la banane. Affectueux envers les rares personnes qu'il apprécie. Il doute cependant pouvoir aimer un jour, comme on en parle dans les textes romantiques ou dans certains romans feuilletons qui peuplent les journaux et cela l'inquiète dans un sens, il aurait l'impression que ces gens aient raisons, qu'il ne soit pas humain comme un autre. Il aime le calme, la lecture, la musique ou juste flâner en marchant, c'est un plaisir comme un autre. Vous l'aurez bien compris, un amour inconditionnel pour sa petite soeur qu'il compte, même s'ils ne sont qu'à moitié du même sang protéger de tout ce qui pourrait blesser la poupée de porcelaine. C'est tout. C'est court.

Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose.

Texte d'introduction au personnage ou Test RP :

Cahots des rails et du wagon. Énième cahot que l'on ressent même en première classe du Paris-le Havre Express, partie tôt ce matin. Ils avaient dit Express. Express, c'est vite. Mais depuis tout à l'heure, Absalon a l'impression de faire du sur place. D'un soupir énervé, il consulte sa montre qui indique midi pile. C'est aussi ce qu'indique le clocher au loin dans le loin de la compagne, le cloche sonnant dans un tintamarre assourdissant, comme pour le mettre devant le fait accompli. Et se maudire une énième fois (autant de fois que le wagon a secoué,tiens.) d'avoir eu un moment d'absence totale, ouïe et réflexions claquemurées en face de cet homme qui, lui vantant ses cotons, ses tissus et leurs capacités mirobolantes, n'était pas passé comme qui dirait du coq à l'âne, en lui parlant, maintenant, il l'a compris, du parti intéressant que pouvait faire sa fille pour un célibataire comme lu, de tout ce qu'elle savait faire, de sa bonne éducation, de sa vie en Louisiane, où la famille avait une demeure, bien que toujours français, de sa beauté à couper le souffle, de la richesse de la famille et tout ce qui pouvait vendre, parce que oui, vendre était bien le mot à utiliser, sa chère et unique fille, sa femme n'ayant jamais la capacité d'avoir d'autre enfant et donc pas d'hériter mâle pour la fortune familiale, de ce fait, la dot serait d'autant plus importante et avantageuse ainsi que l'héritage à venir pour les futurs enfants à venir, nés de cette union qui risquerait d'être fructueuse, selon les dires du père. Pour résumer, Mademoiselle Evelyne Devaux avait été vendue avec les 250 rouleaux de 20 mètres de tissus cotons de son père, comme un petit cadeau en plus que Monsieur Lion n'avait pas prévu du tout, lui pensait en acheter 50 de plus afin d'atteindre le chiffre rond de 300. Cela lui semblait tellement logique et la manière dont laquelle Monsieur Devaux vendait cela. Et la description qu'il en faisait aurait très bien pu correspondre pour un rouleau de tissus. D'ailleurs, l'écoulement du tissu était certainement beaucoup moins problématique que ce qui arrivait avec. Parce que, bien sûr, le discours qu'il portait sur l'institution du mariage et sur le fait de prendre femme n'avait pas changé pour autant. Il n'avait pas besoin de femme, pas besoin d'enfants et pour les désirs naturels d'un homme, les courtisanes étaient là pour ça. Il était hors de question d'avoir à ajouter quelqu'un à la catégorie « Personnage nuisible ne servant à rien dans la maison. », catégorie que la tante Iris occupait suffisamment bien à elle toute seule. Cette dernière avait créed'ailleursà elle seule l'obstacle au refus différé de cette union par le futur marié, avec une scène mémorable mettant à profil tous ses talents d'actrices devant ce qui restait de la famille Lion (Cousins, Tantes et Oncles plus jeunes, Cousins par alliance ...) ainsi qu'une bonne dizaine de collaborateurs et leurs familles lors d'une réception dans un lieu réputé. Il avait eu le droit à la scène de la vieille dame, suivi du pouvoir de la parole dans notre monde ainsi que celui de la signature prochaine, de l'âge qu'il avait, c'est-à-dire largement, même pour un homme, celui de fonder une famille.Sans compter la dot , un apport non négligeable dans les affaires de la famille et son influence, faisant remonter la côte dans le paysage actuel . Le refus avait été barré sans possibilité de changement et il avait donc fallu se faire une raison. Il avait fallu aussi expliquer ce qui se passait à la petite Esther, qui n'avait eu d'explication que de la part de sa gouvernante et des bruits de couloirs. Et comme tout enfant de sept ans, elle avait assortie cette explication d'une myriade de questions, de « Pourquoi tu te maries ? » à « Est-ce qu'il y a des girafes en Louisiane » en passant par « Je croyais qu'on avait déjà tante Iris et que ça suffisait ? »

Sifflement de fumée qui sort Absalom de sa transe. Nouveau regard à la montre gousset et nouveau soupirs, soit parce que seulement une demi-heure s'est passée, que même si les sièges sont très confortables, le temps commence à se faire long soit parce que la situation l'a dépassé au plus haut point et qu'elle semble impossible à surmonter. Avec un peu de chance, la future et sa famille, dégouté de leur fantomatique, si peu agréable et froid ou encore s'apercevant de , je cite, « l'origine impie de la famille Lion. » (Oui, nous sommes bien dans une république qui se veut au-dessus de tout ça, mais apparemment certaines moeurs s'accrochent et se durcissent.) Futur mari/beau-fils comme d'autre, annuleront pour certaines raisons, sous prétexte qu'elles auront trouvé meilleurs partis. Quoi que, à bien y réfléchir, monsieur Devaux ayant donné sa fille comme s'il offrait un petit chien à n'importe qui, c'est à se demander si ça ne cache pas quelque chose de mauvais, à mettre sous silence. Peut-être est-elle enceinte par « accident », dans ce cas, il suffirait d'abandonner l'enfant. Cependant, ce n'est pas probable, il aurait préféré l'envoyer faire accoucher caché ailleurs que Paris, où tout se sait avant de faire abandonner l'enfant plutôt que de perdre sa fille dans un mariage peu scrupuleux et ainsi, éparpiller la fortune qu'il amasse depuis des années et qui a fait son rang social actuel. Que pouvons nous tirez , après tout , d'une correspondance déshumanisée , juste faite pour plaire d'un côté comme de l'autre . En y réfléchissant, il ne peut pas volontairement faire échouer ces fiançailles, ce mariage, on ne le raterait pas . Ni dans la sphère de la famille . Ni dans la vie publique et dans les rumeurs Regard discret sur le journal près de lui, ouvert à la page d'un roman feuilleton. Cela attise son attention, l'intéresse au plus haut point. De quoi passer l'heure et demie qui reste la tête vidée de tous ses problèmes.

En gare du Havre, il a rendez-vous avec les deux domestiques chargés de porter les bagages de la demoiselle sous la grande horloge, celle-ci a été conduite à un lieu d’attente. Ils doivent prendre l’express le Havre Paris une heure plus tard et ces six heures de voyage s’annoncent encore plus longue que celle de l‘allée. Parce qu’il faudra passer six heures à se regarder en chien de faïence .

Theatrum Mundi

Pour terminer ...

• Pseudonyme :

Cymbae . Entre Autre .

• Âge :

19 ans

• D'où nous venez-vous ?

D'une longue réflexion "Je m'inscris- Je m'inscris pas ."

• Quelque chose à nous dire ?

Je ne connais que très peu le Paris du XIXème et le 6 obtenu sur cette période aux partiels vous laisse constater ses connaissances . J'ai fait de mon mieux pour lire et comprendre les sujets de contexte (ça m'a pris un mois) (pas taper ><) mais je pense qu'il doit y avoir quelques erreurs de ma part . Je m'en excuse d'avance

La future Madame Lion, Evelyne Devaux devrait arriver sous peu (6heure de train du Havre à Paris, c'est long è_è )

Merci encore à Pierrot pour l'activation du compte ><

Coucou !

Voici quelques commentaires sur ta fiche de présentation. Wink

Alors, tout d'abord, comme je l'ai dit à Evelyne, il y a un petit problème concernant la manière dont vous avez été fiancés : normalement, après que le père a proposé au jeune homme la main de sa fille, il faut que la fille accepte, puis que le prétendant fasse sa cour pendant un certain temps. En gros, pour être dans la norme de l'époque, vos personnages doivent quand même avoir fait connaissance (ne fût-ce que par lettres). En outre, il faut bien savoir que la jeune femme est normalement dotée (donc pourvue d'une certaine somme d'argent), donc que le fiancé n'achète pas la fiancée... même si, à la limite, il peut s'être fait avoir en acceptant un mariage sans dot. Enfin, comme vos personnages ne sont pas encore mariés, il faudra voir comment se passe le mariage, s'il est dans la norme de l'époque ou pas... et auquel cas, que vous - les joueurs - le sachiez pour en assumer les conséquences en jeu.

Ensuite, nous rencontrons quelques problèmes avec les prénoms dans ta fiche : Absalom, Esther, voilà qui sonne fort... juif, pour une famille qui se prétend insérée. Tu reconnaîtras, j'espère, que faire genre "on est de bons catholiques" et appeler ses enfants ainsi, ça casse le mensonge... Je te suggère donc d'adopter des prénoms plus catholiques, quitte à se faire appeler Absalom dans la stricte sphère familiale. Wink

Précisons en outre que les Juifs sont en général mal reçus dans la société. La Lambresac, par exemple, n'en recevrait pas, ou alors il faut vraiment qu'ils soient exceptionnellement bien insérés... La Forestière est un peu plus laxiste à ce sujet, mais tout de même, il reste de gros préjugés sur les Juifs à l'époque... Du coup, s'ils restent proches du judaïsme, il faut vraiment que ça soit hyper bien caché : à Paris, tout se sait - malheureusement ! - très vite. ^^

Sinon, comme toi ou Evy avez dit sur la box que vos personnages "cachaient des choses", nous aimerions, en tant que maîtres du jeu, en être informés. Ceci nous permettrait à la fois de vous valider en toute connaissance de cause, sans anachronisme ni incohérence, mais également de gérer nos futures intrigues : Chronique du règne de Félix Faure est un forum semi-dirigé, avec beaucoup de MJisation, donc on a besoin - comme dans un jeu sur table - de connaître vos petits secrets. Wink

Néanmoins, si tu veux que ces secrets restent cachés aux autres joueurs, il te suffira de les mettre entre balise hide (seuls les maîtres de jeu pourront les voir). ^^

Enfin, le détail : ton personnage peut être propriétaire d'un grand magasin, oui... mais pas de plusieurs, ça ne se faisait pas encore à l'époque. Wink

Voili, voilou ! Je t'invite à prendre connaissance des remarques faites à Evelyne, au cas où. Et, bien évidemment, ma boîte MP t'est ouverte au moindre problème ! Wink

Edit : ah, j'oubliais ! L'infamie, c'est l'intérêt que le personnage peut susciter chez les grands de la pègre... Donc ici, je suppose que ton personnage magouille quelque peu ? ^^ À toi de voir à quel point Absalom peut-être intéressant pour eux. Wink

Je répète ici ce que j'ai pu développer sur la box avec Armide .

L'objectif de M. Devaux est de se débarrasser de sa fille, les raisons sont évoquées dans sa fiche . . Aussi, bien sure, il n'a pas "offert" Evelyne sans rien . Sa dot est extrêmement importante, Raison pour laquelle Iris s'est roulée par terre , cette dernière courant en permanence après l'argent . C'était l'image de la "transaction", casée entre deux déclaration d'affaire

Pour les prénoms , il a été décidé que tous les membres de la famille Lion possédant un prénom se rapprochant trop de l'univers biblique cachent leurs premiers prénoms et utilise le second . Les personnages le connaissent donc sous le nom d'Ulysse Lion . Sa petite soeur s'appelle pour tout le monde Anne . Pour vous donnez un exemple concret , Evelyne n'apprendra le principe du prénom qu'après le mariage et les Lions utilisent leur points d'infamies pour que bien sure tout cela reste secret .

Quand aux choses cachées , En plus des prénoms et de l'origine de la famille , j'ai plus ou moins tendance à inventer mes personnages sur le tas , les faisant avancer au fur et à mesure . Je ne pense cependant pas qu'il ait des choses importante d'autre à cacher , sa part d'ombre se tenant plus du côté de ses affaires

Je pense avoir corrigé le reste .

Merci d'avance .

Je suppose que par "points d'infamie", tu veux parler des relations que les Lion entretiennent avec le reste de la bonne société pour cacher leurs magouilles, c'est bien ça ? x)

Quoi qu'il en soit, c'est bon, j'ai le plaisir de te valider ! Bienvenue dans le cénacle de la Forestière, tu démarres l'aventure avec 350 points de mondanité et 170 d'infamie - parce que oui, si les Lion en sont là, ils méritent quand même une certaine considération dans le milieu du crime organisé. Wink

Tu peux d'ores et déjà demander un RP ici, poster une fiche de signalement par là et même ouvrir ta boîte aux lettres dans ce coin. Tu es également plus que le bienvenu dans le salon des membres (flood) ainsi que sur la chatbox !

Bienvenue parmi nous ! Very Happy

» Ulysse Lion , Fantôme des Salons

Absalom Lion .

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