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 Casimir Epardeau

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MessageSujet: Casimir Epardeau   Casimir Epardeau EmptyLun 28 Mai - 10:29

    Registre des habitants
    de la Ville de Paris

    Quelques informations factuelles :

    • Nom & Prénoms : Casimir Epardeau. Plus habituellement : « Hé, le vieux ! »

    • Âge & Date de naissance : 30 avril 1831, à savoir, presque 65 ans.

    • Origine sociale : Casimir a grandi sur les côtes de la Bretagne ; mère blanchisseuse, père pêcheur. Ce dernier est mort en mer alors que Casimir avait une douzaine d’années et sa sœur la moitié de cela, précipitant un départ pour la capitale où vivait la sœur de sa mère, cuisinière chez une dame réputée. Casimir se souvient surtout de la capitale, où il a immédiatement cherché à accumuler les petits boulots pour aider sa mère et sa sœur. Il vit, à présent, dans un minuscule appartement, peu garni, en haut d’un escalier en colimaçon, et s’entend vaguement avec le concierge.

    • Métier, occupation : Dans sa vie, Casimir a été porteur d’eau, cordonnier, potier, croquemort, cocher, marchand de cannes, et bien d’autres choses encore, à plus ou moins long terme – n’est jamais resté les mains dans les poches, et s’est toujours débrouillé pour se trouver quelque chose à faire. Il a aussi beaucoup travaillé avec les sourds, et a milité, après 1880, pour que la langue des signes ne soit pas abandonnée dans l’enseignement ; en vain. Il est actuellement allumeur de réverbères et distribue parfois les programmes de théâtre – c’est bien gentil de parler de retraites, encore faut-il y avoir droit. Il lui est aussi arrivé, à de nombreuses reprises, d’accepter des missions plus ou moins louches, qu’il a rempli sans poser la moindre question ; elles paient souvent bien mieux que les métiers honnêtes, et il faut bien manger.

    • Ambitions de votre personnage : A 65 ans et en fin de siècle, quelles ambitions voulez-vous donc avoir ? Laissez-le donc tranquille, avec vos histoires d’élévations. S’il peut entrer au service d’une de ces nobles familles comme jardinier, pourquoi pas ; si on lui demande de cacher tel voyou, pourquoi pas non plus ; tant que ça paie et que tout cela se fasse dans le calme et sans trop le bousculer, il a mal aux genoux, ces temps-ci – la faute aux intempéries.

    • Milieu fréquenté : Honnêtes et simples gens ; voyous et criminels notoires à l’occasion.

    • Points de Mondanité : Peu/Pas. 0-10. Casimir ne dérange pas ses voisins et leurs a bien fait comprendre qu’ils feraient bien de faire de même. Il ne prête pas son sucre, mais ne va pas voler les journaux sur le pas de la porte non plus.

    • Points d'Infamie : Un peu plus, et beaucoup plus fluctuant selon la période de l’année et l’humeur du vieux. 100 ? C’est qu’il n’est pas toujours commode, et qu’on le voit parfois dans des endroits mal fréquentés – mais occupez-vous de vos oignons. S’il n’a pas, de lui-même, de plans criminels, ces derniers ont pu compter sur lui à maintes reprises, d’abord en le bernant, puis de manière plus volontaire ; ils savent qu’il ne pose pas de questions et que ses lèvres restent scellées. D’un autre côté, s’il n’est pas d’humeur, il est tout à fait capable de refuser opiniâtrement une proposition. Si sa présence dans le milieu est / a été parfois erratique, ses méfaits durent tout de même depuis plusieurs décennies.


Tout esprit profond s'avance masqué

Description physique & psychologique :

« Il est ainsi de pauvres mains,
Comme feuilles sur les chemins,
Comme feuilles jaunes et mortes,
Devant la porte. »
- E. Verhaeren, Les Pauvres.

Casimir, c’est « Le Vieux ». Plus de cheveux sur le dessus de son crâne, quoiqu’il ne coupe pas ceux qui lui poussent sur les côtés. Ils bouclent, grisâtres – du brun ou du blond il ne reste plus la moindre trace, et je serai bien en mal de vous dire ce qu’il en était. (Il parait, cependant, que les blonds, c'est mieux, selon une certaine mère de famille.) On le prend parfois pour un vieux prêtre, ou un vieux précepteur, ce qu’il n’est pourtant pas du tout. Un visage ridé, attaqué par le temps et la misère ; des rides profondes, violentes, de celles de ceux qui ont souvent souri, grimacé et froncé les sourcils – pas de ces visages qui sont restés impassibles à tous les événements, et qui ne sont pas ridés par les expressions, mais seulement par le temps. Il les fronce encore, souvent – et une veine pulse alors au dessus de son arcade sourcilière gauche. En dessous de ses sourcils garnis, des yeux qui passent inaperçus ; il faudrait vraiment vouloir en connaître la couleur pour s’en souvenir. Alors, puisque vous la voulez –gris, sûrement, ou peut-être bleus, selon les perceptions, quelque chose dans ce goût là. De toute façon, on ne regarde pas longtemps Casimir dans les yeux ; son visage colérique et ses regards noirs – à défaut d’iris de la même couleur – découragent ceux qui voudraient le faire. Un nez légèrement crochu, des joues creuses, des lèvres tordues et gercées, un menton trop large et une peau pendante, sur les os de sa mâchoire – Casimir n’est pas agréable à regarder, et, même jeune, ne l’a pas été. Ses oreilles légèrement en chou-fleur, et à moitié sourdes, qui l’obligent à parler fort pour s’entendre lui-même, quand il veut bien parler, n’arrangent pas le tableau. Son ton est naturellement agressif, même lorsqu’il ne l’est pas particulièrement, et il a abandonné l’idée de faire des efforts pour l’adoucir il y a déjà plusieurs décennies. Acariâtre.

Peu avenant, il est plutôt le genre de personnes auxquelles on évite de demander son chemin et à côté de qui on ne s’installe pas sur un banc. Il n’aime pas qu’on l’embête, n’aime pas sortir de ses habitudes, n’aime pas parler aux inconnus, encore moins aux étrangers, et ça se sent. Ils parlent aux gens à qui il a besoin de parler – et ça suffit bien. Des gestes lourds, pas toujours nets ; un dos légèrement voûté, un corps plein de carences, et douloureux. Une force apparente plus que réelle. Ses genoux font sa misère, et rester debout trop longtemps lui fait mal aux reins. Il clopine – une mauvaise hanche. De larges mains, bouffées par le travail, qui signent parfois de manière convulsive. Son corps, il le cache sous un long manteau orange bleu marine qu’il traîne depuis des années déjà, tout comme ses chaussures aux semelles usées, et qui ne lui permettent pas de garder les pieds au sec les jours de pluie. On le voit souvent déambuler dans les rues, pourtant – monsieur ne tient pas en place. Besoin, peut-être, de se prouver qu’il peut encore marcher. Il a été grand, large d’épaules et imposant ; s’il se ratatine, on peut encore voir dans sa silhouette ce qu’il a été.

On ne l’aime pas trop, Casimir ; en même temps, il n’a rien pour lui. Laid. Pauvre. Irritable. Il passe son temps à ronchonner, et tout était mieux avant. C’est un solitaire, un égoïste, un pragmatique. Survivre au mieux et on verra ensuite. Les opportunités, il sait les attraper, et, malgré son esprit limité, il sait convaincre les autres, par sa présence et la colère irrationnelle plus que par le bon sens, de manière instinctive plus que calculée. Casimir a la mémoire mauvaise et la compréhension lente. « Il est tard. Les volets sont ouverts. » Et bien, oui, les volets sont ouverts - si d’autres, par déduction, peuvent en conclure que la personne souhaite qu’ils soient fermés, lui ne bougera pas d’un centimètre tant qu’on ne le lui aura pas épelé, pas par fainéantise, lui le travailleur acharné, mais simplement parce que l’idée ne lui viendra pas à l’esprit. On lui a souvent répété qu’il était bête. Les circonstances ne se sont pas gênées pour appuyer les dires : il a souvent été utilisé et manipulé avec une facilité déconcertante. Et, quand il s’en rend compte – il râle. Pas d’action héroïque pour redresser son honneur - le monde est injuste, il faut bien s’y faire.

Il méprise l’art avec une force peu commune, ne supporte pas la musique, et ne comprend pas comment certains peuvent perdre leur temps au théâtre, alors que d’autres cavalent nuit et jour pour se remplir la panse. Encore moins que certains en fassent leur métier, alors qu’il y en a tant qui sont bien plus utiles. Si vous voulez son avis – l’un des théâtres a brûlé, et bien, tant mieux.

Mentir, quand vous voulez. Apitoyer, aussi. Tous les moyens sont bons pour avoir ce que l'on veut, et il se tourne, instinctivement, vers les menaces ou, au contraire, l'empathie pour atteindre ses buts. S’il n’y a qu’un seul fiacre, il n’hésitera pas à faire un croche-pied pour y arriver le premier.

Son travail, il le fait bien, quel qu’il soit ; il est rigoureux, à défaut de ne pas savoir réagir aux situations imprévues. Tant qu’il connait l’objectif, le but à atteindre – il le fera. S’il ne sait pas ce qu’il doit faire, par contre, il ne fera rien, ne prendra aucune initiative. On ne pourra pas lui reprocher, ensuite, d’avoir abusé de ses prérogatives.

Casimir est aussi quelqu’un de peu sûr de lui, même s’il donne souvent l’impression inverse, parce qu’il dit de manière véhémente et comme s’il pensait qu’elles étaient des vérités absolues des choses qu’il remet incessamment en question en lui-même. Il est assailli de doutes existentiels – la vie, la mort surtout, les combats qu’il n’a pas mené à bien, les aller-retour entre une croyance ou une autre. Douter, déambuler, des nuits entières, et puis – pas grave, Dieu pardonne. Il se promet de faire mieux, ne le fait pas, doute sur sa propre nature, trop violente pour être bonne, recommence à se faire des promesses qu’il ne saura pas tenir. Peut-être fait-il plus semblant de croire que de croire vraiment, parce que les principes, il ne les suit généralement pas. Combien de fois a-t-il aidé le voyou à s’échapper ? Combien de fois a-t-il dit gauche à un policier alors que le voleur s’enfuyait par la droite ? Mais c’est qu’il a à manger dans son assiette, le policier, un endroit où rentrer, une famille, un chien peut-être. Le voleur, il a quoi ? Alors, bon, peut-être que les mauvais ne sont pas ceux qu'on cherche à mettre derrière les barreaux, mais bien ceux qui les y mettent. Lui, il ne sait pas qui a raison et qui a tort. Il sait juste que la vie est une lutte, et il n’a pas peur de s’y salir les mains. Et il repart dans ses doutes, ses doutes théologiques, parce que, la Bible, quand même... Mais ce n’est pas grave, Il pardonnera ; ce sont les hommes, qui ne pardonnent pas, et lui, ça fait longtemps qu’il n’a plus personne.

Il n’a plus rien, Casimir ; pas d’amis, plus de famille, plus de combats. Il avait, auparavant, un acharnement redoutable pour les causes qui étaient les siennes ; à la mort des personnes pour qui il les portait, il a, en parallèle, abandonné les idées au coin de la rue. Peu de persévérance, peu de volonté propre, il suit toujours celle que les autres lui mettent entre les mains. Ses doigts signent encore, par habitude, mais à quoi bon se battre, puisque sa sœur ne profitera plus des victoires ? Victoires avortées, de toute façon : que peut faire un pauvre homme silencieux face aux lois des politiciens, que peuvent faire les souvenirs des morts face au jeu des vivants ? Un peu fataliste sur les bords, Casimir, quoiqu’il appelle cela du réalisme – va vivre un demi-siècle à Paris, puis viens lui reparler de fatalisme, qu’il te dirait. On ne porte pas les causes mortes, et toutes les causes sont mortes. Les seuls à avoir compris la vie, ce sont les boulangers.

Il radote, et vit dans le passé.

Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose.

Texte d'introduction au personnage ou Test RP :

8 février 1896.

« Distribution des rôles de l’Hérodiade ! Distribution des rôles de l’Hérodiade ! Distribution des rôles de l’Hérodiade ! »

Nananananana-nananana, nananananana-nananana… Ce qu’il pouvait détester ce boulot. Tendre les morceaux de papier à des gens qui ne le regardaient même pas en le prenant, et qui allaient ensuite perdre leur temps à l’intérieur à regarder des gens se pâmer outrageusement en leurs détruisant les oreilles… Et puis, ça voulait dire quoi, Hérodiade, d’abord, et qu’est-ce qu’il avait de si spécial, ce Massenet ? Il ne connaissait pas la vie, lui, s’il avait le temps d’écrire d’inutiles opéras.

Et puis après, ça commençait, ils étaient tous au chaud à l’intérieur, et lui, il restait dehors avec ses futiles feuilles, au pas de la porte, pour pouvoir dire aux retardataires que, non, c’est trop tard, la prochaine fois, vous arriverez plus tôt – mais si vous voulez quand même la distribution des rôles de l’Hérodiade et vous installer dans l’un des salons en attendant l’entracte, ne vous gênez surtout pas… Non, décidément, il détestait travailler pour les théâtres, se répéta-t-il en resserrant son manteau autour de sa taille.

Le son de l’explosion fut assez fort pour atteindre ses oreilles abîmées, assez fort pour le faire sursauter, et il se tourna violemment vers l’entrée avec un air méfiant.

« ‘Se passe quoi, encore ? »

Rien, d'abord, et il grimaça, les lèvres closes, avant de tourner à nouveau ses yeux vers la rue. Les portes s’ouvrirent les employés de l’Opéra organisant la sortie en réclamant le calme ; le temps qu'il le remarque, puis ce sont les sourcils qui dansent vers ses yeux. Mais c’était censé être son boulot, ça, et ils avaient de l’avance ! Casimir s’approcha, en regardant les spectateurs sortir, vifs dans leurs mouvements, leurs regards, leurs paroles. Quoi, encore un scandale ? Madame X s’était évanouie dans sa loge, ils avaient de quoi bavasser, alors ils étaient contents ? Poussant l’un des jeunots pour prendre sa place et tenir la porte ouverte, Casimir continua à les regarder sortir, grommelant sur ces employeurs qui ne préviennent jamais des changements de plan.

« Les anarchistes, je vous dis ! »
« J’espère qu’ils nous rembourseront le spectacle – c’est inadmissible de ne pas pouvoir apprécier le dernier acte. »
« Vous pensez que Madame De Fourret a été blessée ? Sa loge était atrocement proche de l’explosion ! Je n’ai pas pu voir si… »
« Aidez-moi ! S’il vous plait, il est blessé, aidez-moi… »
« La faute à qui ? La faute à qui ? »

Alors il vit les gens plutôt que les effets de l’explosion – trop loin pour être atteint par la fumée, les flammes ou les odeurs, ce furent plutôt les spectateurs qui lui permirent d’avoir une idée de la situation. Une explosion, des blessés, c’était mauvais, ça, très mauvais… Pourquoi avait-il fallu que les anarchistes choisissent le jour où c’était lui qui travaillait ici pour faire leur sale coup ? Ils ne peuvent pas laisser les pauvres gens tranquilles, un peu, au lieu de les mêler à des histoires qui ne les regardent pas ? Il était grand temps de filer, avant que la police n’arrive sur place, qu’il soit questionné, et qu’on ne l’arrête simplement parce qu’il avait une tête de coupable, peu importe ce qu’il pourrait en dire et malgré l’absence de preuves. Il leurs faudrait bien un bouc émissaire pour apaiser le public scandalisé, et il était hors de question que ce soit lui. Il lâcha la porte ; celle-ci se cogna contre l'orteil d'un monsieur.


Theatrum Mundi

Pour terminer ...

    • Pseudonyme : …Casimir ?
    • Âge : Dix-neuf ans.
    • D'où nous venez-vous ? Une demande de partenariat en septembre dernier, que j’avais maudite haut et fort – quelle idée de faire découvrir une merveille pareille le mois de la rentrée. Le forum m’a immédiatement conquise, même si j’ai retardé mon inscription pour des raisons diverses – me voilà à présent.
    • Quelque chose à nous dire ? °Si un personnage cherche un voyou pour une mission quelconque et que Casimir peut remplir le rôle, je suis preneur o/
    °J’espère qu’il n’y a pas trop d’incohérences, et que le dinosaure pourra bientôt se frayer un chemin dans votre monde =)



Dernière édition par Casimir Epardeau le Mar 29 Mai - 6:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Casimir Epardeau   Casimir Epardeau EmptyLun 28 Mai - 20:16


Bonjour Casimir, et bienvenue nouveau parmi nous !
Voilà un personnage très original, que j'ai hâte de voir en jeu Wink

Il n'y a que deux petits détails à corriger : je pense que, plus que le programme, Casimir devrait donner les feuilles de distribution des rôles (qui sont des petits feuillets bien moins coûteux qu'un programme, qu'on écoulerait pas si facilement dehors). En outre, l'Opéra comportant foyers, salons, etc., les retardataires peuvent entrer sans même pénétrer dans la salle - en outre, je ne suis pas sûre, mais l'impossibilité de rentrer dans une salle après être arrivé en retard est possiblement une restriction plus récente. Mais dans le doute, on peut imaginer qu'ils se cantonnent aux parties extérieures à la salle, ce qui te fait peu changer ton discours, comme ça. Wink
Ah je me demandais aussi : tu parles de la Bible, à un moment ... Casimir sait donc lire ? Ce n'est pas forcément une évidence pour les gens pauvres de sa génération, mais c'est bien sûr possible. Je tiens juste à m'assurer que tu t'étais posé la question. Wink

Dans tous les cas, une fois ces infimes détails réglés, je me ferai un plaisir de te valider en bonne et due forme ! Au plaisir de te voir bientôt jouer parmi nous !

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MessageSujet: Re: Casimir Epardeau   Casimir Epardeau EmptyMar 29 Mai - 7:30

Voilà qui est corrigé. Pour la Bible, Casimir ne sait pas lire, il écoute simplement les sermons à l’Eglise. =)
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MessageSujet: Re: Casimir Epardeau   Casimir Epardeau EmptyMar 29 Mai - 10:04

Eh bien c'est parfait, j'ai le plaisir de te valider ! Very Happy

Tu deviens tout noir (on prend la couleur de groupe vers lequel les jauges inclinent le plus, alors à 100 d'Infamie ...) mais venons-en au plus important. Tu peux dès lors te chercher un RP, créer ton fichier de personnage, venir te présenter dans les discussions et recueillir nos bienvenus enthousiastes, réclamer un rang personnalisé, et plein d'autres choses ! Nous restons à ta disposition si tu as des questions.

En te souhaitant un bon jeu sur le forum, Papi poussière ! Casimir Epardeau 1025043054
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MessageSujet: Re: Casimir Epardeau   Casimir Epardeau EmptyMer 30 Mai - 3:08

Je veux bien "Papi poussière", comme rang personnalisé o/

Et merci beaucoup =)
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MessageSujet: Re: Casimir Epardeau   Casimir Epardeau EmptyMer 30 Mai - 13:30

Ah ah, suffisait de demander Casimir Epardeau 1358443823
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