Le monde est un grand bal où chacun est masqué.

Signalement :

• Nom & Prénoms : Renaud Berger dit Le Renard
• Âge estimé : La quarantaine (un peu plus jeune mais la vie est dure que voulez vous)
• Origine sociale : Originaire des classes les plus pauvres.
• Métier, occupation :Vagabond, cocher de temps à autre pour un cousin.
• Caractéristiques physiques :
Corpulence : Grand et mince, voir maigre.
Cheveux : Blond presque roux, mi long, souvent sale.
Yeux : Marrons, marqués par la fatigue.
Teint : Pâle par nature, rendu terne et abîmé par une vie passée à l'ombre des prisons et dans le froid de Belleville. les joues presque creuses.
pilosité : Une épaisse barbe blonde lui mange le visage.

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Manigances, marivaudages & mésaventures.

Informations utiles au déroulement du jeu :

• Vos RP :
-Les belles idées sont comme les bons repas, ça se partage.
- Ne laisse jamais tomber une pièce au pied de celui qui n'en a pas
- Le jour de gloire est arrivé !


• Objets trouvés et indices acquis :

Une petit clef perdu par Jean de Fréneuse.

Ce qui derrière les masques palpite...

Vos relations aux autres personnages :

(facultatif)

Actes des acteurs.

Procès verbal établi le 18 juin 1871
Nous, Mr Ferdinand Georges, commissaire de Police de la ville de Paris, signalons la mise en détention, avant placement en maison d'arrêt pour mineur, de Renaud Berger pour vagabondage et voie de fait sur les agents Charretier et Claudel. Ci-joint le rapport des agents.

Citation :

« Nous étions de service le 15 juin de l'année 1871, affecté à la surveillance et à la protection des citoyens de la rue St Maur à la rue Ramponneau dans le quartier de Belleville, il était près de dix sept heure quand notre attention a été attirée par un gamin des rues nous regardant avec un air mauvais. Il a violemment pris à parti l'agent Claudel en le traitant d '« assassin » et de « pourriture de versaillais » puis il a saisi un pavé qui était descellé et l'a envoyé vers nous, brisant la vitrine du barbier Mr François Duchemin qui a porté plainte pour dégradation de propriété privée. Nous avons couru après le drôle et rattrapé au niveau de la rue Dénoyez. Après une rapide altercation durant laquelle le prévenu à mordu jusqu'au sang la main de l'agent Claudel, rapport du médecin ci joint, et m'a frappé à plusieurs reprises le tibia droit, occasionnant par la même plusieurs hématomes, rapport du médecin ci joint, alors que nous escortions le jeune enragé jusqu'au commissariat, quarante six rue Ramponneau celui ci a insulté l'agent Claudel et moi même de « sales vaches, vous êtes des fils de putain, mort aux fils de la sûreté ! » et ce à six reprises. Lorsque nous l'avons finalement interrogé et après un questionnement un peu rude il a continué de refuser de décliner son identité ce n'est qu'après trois jours sans manger qu'il a craqué et que les agents Mercier et Coignier ont pu l'interroger. 

Bertrand Charretier, agent de police de la ville de Paris »