Après un été où chacun a profité de ses congés et du soleil, Felix Faure revient plus en forme que jamais ! Loin d'avoir abdiqué, le forum continue de vivre et de s'agrandir et n'attend que de nouveaux membres. Nombre de changements et ajouts ont été apportés au forum. Ainsi le staff accueille en son sein Guignol qui est déjà un membre très actif, et remplace Armide et Galatée qui prennent une retraite bien méritée. Côté animations, la chasse au trésor a vu se conclure son ultime édition avec la victoire d'un des participants. Le jeu du savoir-vivre a lui aussi donné ses résultats, les joueurs ont pu ainsi tester leurs connaissances sur la bonne conduite à avoir en société. Et loin de laisser nos joueurs en repos ils sont invités à se lancer dans l'art de la formule et de la caricature !

Au fait ! en cette fin d'avril 1897, Paris compte 77 âmes, dont 37 joueurs actifs. Ces fringants épistoliers nous ont retracé leurs aventures dans plus de 9062 messages... et c'est loin d'être fini !

L'intrigue au sein du Grand Guignol suit son cours. Les participants ont pu assister à de curieux spectacles, mais pas moins curieux que les découvertes faites par certains d'entre eux. La tension règne chez les acteurs et le public, comme si un drame allait voir lieu. Il est encore temps d'assister au dernier acte.

Pendant ce temps, un voyage en train s'amorce. Nombre de Parisiens vont s'y retrouver le temps d'un voyage, mais celui-ci sera-t-il véritablement paisible ?

A la maison de couture de Madame Champmézières, une drôle de scène se joue, presque un vaudeville. Mais après la comédie, c'est la tragédie qui prend le pas sous les traits du fantôme du mari défunt.

Dans les cabarets le ton est plus joyeux, le verbe le plus léger, peut-être même trop dans celui-ci. Ici point de finesse et Yann le découvre, lui curieux de connaitre ce fameux Cabaret Bruant. Voilà même qu'il fait connaissance avec une femme, sans savoir qu'un homme se cache sous la perruque.

Vieille femme débarquée récemment à Paris, Lucienne Viret veille au futur mariage de son fils. Pensez donc il a pris une femme plus âgée que lui. Non pas que Lucienne déteste sa belle-fille, mais elle tient à devenir grand-mère et au plus vite.

Jeune éphèbe suédois, Zacharia von Reutersvärd joue avec brio le rôle du bourgeois bien poli et éduqué, cachant ainsi une hypocrisie à toute épreuve. Surtout que monsieur aime beaucoup les dames françaises et il le fait savoir...

Ce qui n'est pas le cas de Albert Courtet, négociant en vins, très attaché à sa femme. Au point de la laisser dépenser sans compter, n'osant la sermonner.